La famille c'est un sujet vaste il y aurait tellement à écrire que je ne saurais pas par quoi commencer. Pourtant c'est aussi un véritable désastre en tout cas pour moi.
J'aime beaucoup montrer cette facette de moi souriante et enfantine mais à vrai dire à l'intérieur j'ai l'impression de ne plus rien ressentir, à partir du moment où je ne considère aucun endroit où j'habite comme étant chez moi je pense qu'il y a un problème.
J'ai tellement sur le coeur à dire que je ne saurais pas non plus par quoi commencer.
On va essayer par là.
J'ai écrit une histoire, commencé plutôt parce que elle n'est pas terminé et il y a un personnage que j'affectionne tout particulièrement puisqu'il me représente. Je l'ai écrit comme ça au début me disant que ce serait simplement un personnage à problème. Pourtant se sont mes problèmes. Pas tous certains que j'ai imaginé. Mais dans la globalité c'est les miens.
J'en veux à beaucoup de personne et parfois pour vraiment pas grand chose.
J'ai fait quelque chose que je ne souhaite à personne, j'ai fait une tentative de suicide en décembre dernier. Je l'ai dit à une personne en qui j'avais à l'époque une confiance aveugle et cette personne m'a obligé à le dire à mes parents. Je n'en avais aucune envie. Ce n'était pas mon choix. Je me suis sentie trahis j'étais pas prêt à le faire, pas pour l'instant.
Ils ont pleuré de demander ce qu'ils avaient fait, moi j'étais à côté canapé le poignet à l'air libre tenu par ma demie soeur pour bien qu'ils le voient. Qu'est ce qu'ils ont fait ? Ils ont prit une photo. Ca m'a brisé le coeur. Maintenant ils font comme ci je n'avais jamais fait ca. Comme ci rien n'était arrivé. Avec cet tentative la personne qui porté mon dead name est réellement morte mais c'est moi aujourd'hui qui endosse toutes les responsabilités.
Ma mère l'a appris. Je n'avais pas le choix de lui dire sinon mon père lui aurait dit.
Elle a pleuré quand le reste de ma famille l'a apprit. Ils se sont excusés. Adorable non ? Et bien ca ne l'était pas. Ils se sont excusés auprès de ma mère. Ils ont présenté leur excuse à ma mère.
Depuis dès que trop de personne de ma famille sont autour de moi je m'efface dans mon subconscient. J'écris pour oublier ma réalité celle où j'ai essayé de me suicider mais je me suis réveillé le lendemain dans mon lit. Celle où on a présenté des excuses à la mauvaise personne. Celle où je n'ai pas recommencer plusieurs fois.
On aurait dit que j'avais encore plus détruit leur monde. C'est pour ca que j'en veux à la personne qui m'a obligé à le dire. La confiance que j'avais envers elle a disparut. On partage notre chambre et c'est à peine si on se dit bonjour le matin. Je lui ai parlé une fois aujourd'hui pour lui demander si elle voulait que je lui serve à manger. Elle m'a dit non et comme toujours c'est servi seule. C'est bien grande fille.
On m'a récemment reproché une vie parfaite et d'avoir ce que je voulais.
Je ne savais pas que d'avoir une vie parfaite c'était de donner de l'argent à son père parce qu'il ne gagne pas assez pour vivre à deux. Que de devoir supporter de l'abus psychologique qui a donné lieu à des traumatismes à cause des parents de mon père. Ca à duré deux ans. C'était long. Je ne savais pas non plus que c'était de devoir vivre avec un père dépressif et suicidaire et ne pas savoir si il rentrerait du travail.
Comme quoi le suicide et la dépression sont dans mes gènes.
Pleins de personne de ma famille parte el se sont suicides était ou sont encore aujourd'hui dépressif. Je n'étais pas en dépression. J'ai juste fait un choix qui maintenant me pourrit la vie.
J'en veux à cette personne de m'avoir reproché ca.
J'en veux à mon père qui a oublié mon coming out. Je lui en veux de faire comme ci de rien n'était.
Pourtant je sais qu'il est comme er qu'il ne changera comme ca alors non c'est mon père je suis obligé de l'aimer comme il est.
J'en veux à ma soeur de ne pas comprendre, je lui en veux de ne pas comprendre quand je lui parle. Et de ne pas avoir compris que pendant le premier confinement je savais qu'elle ne reviendrait pas. Elle l'a passé chez son copain. Et après elle nous a annoncé qu'elle emménageait avec son copain. Elle me l'à dit elle s'attendait à une autre réaction qu'un simple « OK. » et que je continue de manger mes pâtes en regardant la télé. Ce qu'elle ne sait pas c'est que je ne regardais pas là télé je faisais une distorsion.
J'en veux à mon frère. Enfaite je ne peux pas lui en vouloir. Lui en vouloir de quoi ? Il a dit 12 années de plus que moi. C'est pas sa faute d'être un adulte en étude et de devoir me supporter moi de presque 15 ans.
Je m'en veux à moi par moment aussi de ne pas avoir réussi en décembre dernier et de mettre réveillé.
Je prends des médicaments parce que j'aime bien le goût. C'est dangereux je le sais je me suis évanoui à cause de ca une fois mais comme toujours je me suis réveillé.
Aujourd'hui je ne sais pas si il y a plus d'une personne qui me donne envie de pas mourir. En mourant je me sentirais coupable de ne pas être là pour l'aider. De ne pas essayer de l'aider. Et maintenant il y a son odeur sur mes draps qui me fait penser à cette personne. Je pensais qu'être amoureux dans l'adolescence ca n'en valait pas la peine pourtant quand j'ai répondu à cette story privé en février et que on a commencé à parler je crois que je l'étais déjà un peu. Je sais pas ce que j'ai fait pour être dans cette story mais je m'en fiche c'est grâce un ce petit truc vert qui indique que c'est privé qui nous a fait parlé enfin surtout avec ce qui était écrit.
Je sais pas si je dois être triste ou pas alors je le suis pas c'est mieux comme ça. All the things she said dans mes oreilles approuve.
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Non-FictionPlusieurs os diffèrent sur la vie de plusieurs personnes, post sûrement tres espacé. Désolé d'avance pour les fautes d'orthographes, plusieurs Tw : mutilation, suicide etc.. sont à prévoir ( vous serez prévenu à chaque fois dans le titre du chapitre...