Abandonnée

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La noirceur de ses mots

Te transperce tout comme ses sanglots

Alors pourquoi la laisser,

Pourquoi l'oublier?

N'es-tu donc qu'un pentin désarticulé,

Comme les autres privé de liberté?

Tu sais, elle est marginale

Mais se sent triste et banale

Et la noirceur l'attire

Voilà enfin son dernier soupir...

Poèmes de mes galaxies Où les histoires vivent. Découvrez maintenant