Prolongeant la colline
En une sombre ligne
Le gros nuage
Semble plein d'orage
Il est pourtant que brume
Accroché Aix arbres comme un poète à sa plume
Les particules immatérielles
De ce nuage sans ailes
Dévalent les flancs de la vallée
Se ruent sur la pleine inhabitée
Et l'imposant nuage trône en haut
Souverain de tout ce qui est beau
Durant l'impitoyable hiver
Qui s'abat sur ces pauvres terres
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Poèmes de mes galaxies
ŞiirJuste quelques poèmes. Peut être même un peu plus. Un peu d'imaginaire et de rêve. Un bout de mes galaxies imaginées. Comme un petit morceau de moi.