La Meilleure défense c'est l'Attaque !( contenu explicite)

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Nous avons pris la route pour la maison d'assinie très tôt le matin. Dans la voiture, j'étais assis et à ma droite se tenait Talima. Je la dévorais des yeux sans aucune retenue et c'était suffisant pour la gêner au point où il y avait la climatisation à fond mais quelques gouttes de sueur perlaient sur son visage. C'était fou comme c'était agréable de savoir qu'on allait passer pratiquement cinq jours seuls dans cette énorme villa , sans surveillance, sans parents...rien qu'en y pensant , une petite bosse commençait à se dessiner dans mon pantalon...
J'avais jamais ressenti ce genre de choses. Habituellement je suis le gars qui ne s'intéresse à rien et à personne mais cette fille m'avait fait découvrir que je n'étais pas si différent des autres. N'importe quel homme serait tombé face à ce corps de rêve, oui n'importe quel homme... je pense même qu'elle pourrait rendre hétérosexuels tous les gays de la terre...
- Tu vas me regarder comme ça pendant tout le trajet ?
- J'en avais bien l'intention...
- Hum , tu me donnes chaud , il faut arrêter à un moment.
- Juste avec mes yeux ? Ai-je répondu en souriant légèrement
-Oui juste avec tes yeux... tu sais depuis la dernière fois dans les escaliers, je n'arrive plus à être dans la même pièce que toi sans avoir chaud...

En vrai , j'étais un peu étonné, je la croyais hyper timide , mais elle arrivait à me parler finalement, c'était mieux que ce que j'avais espéré. Je ne l'ai pas laissé terminer sa phrase. Je me suis empressé de poser ma main froide sur sa cuisse droite sous la jupe qu'elle avait porté et tout doucement je me mis à la caresser ce qui lui coupa le souffle net. Ensuite je m'approchai de son oreille comme pour lui chuchoter quelque chose à l'oreille mais je ne fis qu'un long et lent soupir tellement sensuel qu'elle en eut immédiatement la chair de poule. Ensuite, c'est ma langue qui se promena lentement dans les pavillons naturellement tracés de ses oreilles. Elle ferma les yeux , se mordit les lèvres et ferma fort le poing, tellement fort qu'elle avait en main le cuir des sièges arrière de la voiture. Mon regard, je ne sais par quel hasard se fixa sur le rétroviseur intérieur de la voiture et il croisa directement les yeux indiscrets du chauffeur. Alors je me repris et lui chuchotai " crois moi , tu n'as pas encore vraiment chaud..." avant de me redresser. J'avais toujours les doigts sur sa cuisse, sous sa jupe, et je dessinais des cercles avec mes ongles sur sa peau nue. Elle était silencieuse, ne faisait plus de gestes, respirait à peine. Après trois heures de route , la voiture s'arrêta. Nous étions arrivés. J'ai descendu les valises et je les ai toutes amenées dans la chambre principale...
Bah oui , je n'allais pas la faire dormir dans une autres chambre , que pensiez vous ?
Nous étions maintenant seuls, libres de nos mouvements, loins des regards indiscrets...
Pour commencer les hostilités, je lui pris la main pour lui faire une petite visite guidée de la maison. Après un tour, je l'emmenai au bord de la piscine où on s'arrêta. Je glissai mes doigts dans ses cheveux et du bras droit je l'ai saisi par la taille, elle me regardait droit dans les yeux, les lèvres toute tremblotante et avec cet air innocent qui me tuait tant. Je m'avançai comme pour poser mes lèvres sur les siennes et tout d'un coup elle se mit à reculer lentement et moi je continuais à m'avancer. Les yeux dans les yeux, et mes mains autour d'elle , je pouvais maintenant sentir son haleine , mes lèvres n'étaient plus qu'à quelques millimètres des siennes...
Ensuite, roulement de tambour...figurez-vous que deux secondes plus tard , nous étions dans la piscine tout habillé... Eh oui , elle avait tellement reculé qu'au moment d'enfin s'embrasser, elle trébucha et m'emmena avec elle dans son élan. Fort heureusement nous étions tombé dans le petit bassin, parce que je ne sais pas vraiment nager...oui et alors ? Je suis beau , c'est suffisant.
Il va sans dire que rien de mieux qu'un bon bain tout habiller pour refroidir les ardeurs de deux jeunes fougueux prêts à s'amouracher avec acharnement... mais , non , ça n'a pas suffit.
Elle était dans la piscine, toute trempée, il n'y avait plus rien pour cacher ses formes généreuses. Elle grelottait dans mes bras et la bosse dans mon pantalon était maintenant devenue une petite colline...la tension était à son paroxysme.
Je n'avais qu'une envie, la déshabiller. Alors je glissai ma main de nouveau sous sa jupe moulante. Dans l'eau, tout était deux fois plus lent , je prenais le temps de sentir sous ma paume chaque centimètre de sa peau. D'en bas , je remontai jusqu'à son dessous sous lequel je passai deux doigts, pour ensuite le tirer vers le bas. Pour faciliter les choses, elle plia la jambe gauche et il glissa , puis elle plia l'autre jambe et le morceau de lingerie flottait désormais dans la piscine, jusqu'à s'éloigner...
Je remontais mes mains quand soudain comme lors d'un réveil brusque, elle fronça les sourcils avant de reculer et de sortir au pas de course de la piscine.
-Mais qu'y a-t-il !? Ai-je fait quelque chose de travers ?
Je suis sorti de la piscine avec mille et une questions dans la tête qui cependant n'arrivaient à évincer l'unique chose qui me faisait encore frémir...l'excitation.
Perdu dans mes pensées, je me promenais maintenant dans le salon , j'avais ouvert la vitre coulissante qui séparait la piscine du salon sans m'en rendre compte, avec des yeux distraits, un esprit inconscient, un coeur emballé et des idées tournées vers un seul être, Talima.
Je la trouvai finalement derrière le bar , un verre de whisky à la main...
- voyons voir...qu'as tu donc à la main mademoiselle...?
-De l'alcool...je peux n'est-ce pas ?
- Tu peux. Mais je croyais que tu ne buvais pas ? N'est-ce pas ce que tu as dit à Maman ?
-On a tous un petit vice qui que nous soyons et je ne suis pas une exception à cette règle vois-tu.
-humm D'accord. Mais restes à savoir si tu n'as qu'un seul petit vice comme tu le dis...dans tous les cas , tu as le bénéfice du doute...mais malheureusement pour toi , tu vas devoir acheter mon silence...
- Comment ça ? Quel coup tordu mijotes tu encore ? Je te préviens je n'ai pas d'argent !
- Qui t'as parlé d'argent ? Je suis le fils de celle qui t'emploies souviens-toi, de l'argent, je crois en avoir pas mal déjà...je pensais disons à autre chose...
- À quoi donc ?
- Vue que tu as déjà commencé à boire, ce serait un gâchis de t'arrêter en si bon chemin... je te propose de me joindre à toi... cependant, cette buvette entre "amoureux "sera réglementée...je te propose un jeu !
- À quoi tu veux jouer comme ça ? Je te préviens, quoi que tu choisisses , tant que ça a rapport avec l'alcool, tu as déjà perdu.
- Permets-moi d'en douter...dans tous les cas, je t'énonce les règles du jeu. Une question, à laquelle tu dois répondre rien que la vérité , si tu n'y arrives pas tu dois boire un verre après avoir fait un gage . C'est simple non ?
- Je suis partante ! Disons que ton silence n'est pas si chère que ça.
- Si tu le dis...

TOXICOS ( actualisé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant