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Love is not cruel
we are cruel
love is not a game
we have made a game
out of love

Rupi kaur

***

Alix sortait de cours quand deux mains se poseraient sur ces yeux, elle reconnut directement le parfum de son « agresseurs ».

- Devine qui c'est ?
- Lucas ?

L'inconnu la retourna face à lui en la regardant avec un air jaloux sur le visage.

- Qui est ce Lucas ?
- Mon amant mais je compte sur toi pour pas le dire à mon copain.

Et il partit énervé vers la sortie de l'école mais Alix lui courrait après.

- Je rigole Antoine ! Aller fais pas la tête !
- Bah voir ce fameux Lucas !

Elle lui attrapa le bras pour lui faire face, elle lui attrapa ensuite son menton en coupe avec s'est mains pour le regarder dans les yeux.

- Tu sais bien qu'il y a que toi dans mon coeur Antoine...
- Tais-toi et embrasse moi.

Et il plaquât ses lèvres contre celle de ça copine.

Alix se réveilla en sueur, elle avait encore rêvé de lui. Elle pensait en avoir enfin fini avec c'est rêve ou plutôt cauchemar.

Assise dans son lit, essayant de reprendre sa respiration, tout les souvenirs resurgissaient. Qui était ce fameux Antoine ? Un ancien boursier mais ça on en reparlera plus tard. Elle attrapât son téléphone pour vérifier l'heure, quatre heures du matin et toujours les messages de Guzman. La française voulu l'appeler mais pourquoi le déranger avec ça ?

Alix attrapa un join cacher dans son dressing et sortir sur son balcon. L'air frais l'aidât à se calmer, aspirant la fumée pour l'éloigner un peu de son calvaire. Elle se remerciait intérieurement de l'avoir gardé au cas où, si Andrea la voyait elle lui aurait encore fait la morale. Qui était cette Andrea ? Sa spy de France qui était devenue une amie, elle était plus âgés de quelque année et fraîchement diplômée. Ses parents l'avaient obligé à la voir pour c'est problèmes mais aussi pour sa dépendance à la drogue car Alix ne voulait pas aller au réunion avec des personnes qu'elle ne connaissait pas et de plus pour écouter leurs problèmes, elle en avait déjà assez pas besoin de savoir ceux des autres.

***

Alix était resté la journée chez elle, ce matin elle avait joué la fausse malade auprès de sa mère et avait eu l'autorisation de rester à la maison. La française ne se sentait pas du tout d'attaque pour affronter cette journée de cours avec la nuit qu'elle avait passé.

Donc aujourd'hui avait été une journée repos même si Guzman n'arrête pas d'appeler la française car il s'inquiétait pour celle-ci, Alix apprécié vraiment qu'il prennent autant soin d'elle.

Installer dans sa chambre, elle s'ennuyait. Il était bientôt 18h et elle n'avait rien fait de constructif, après tout c'était elle qui n'avait pas voulu aller en cours. Elle repensait donc à la nuit dernière, et surtout a ce que Andrea lui aurait indiqué de faire pendant ses crises. Alix se mit à rire toute seule, elle se trouvait tellement ridicule de encore angoisser pour un mec tel que Antoine, quand elle se souvenue de quelque chose.

Para lo peor y lo mejor | ÉliteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant