Ma vie à Poudlard

Chapitre 1 : Ma lettre.

Aujourd'hui j'ai 11 ans, et aujourd'hui ma vie va changer. Je vais enfin recevoir ma lettre d'entrée à Poudlard.

Depuis que j'ai l'âge de savoir parler, je sais qu'à l'âge de 11 ans tout les sorciers en herbe du pays reçoivent leurs lettres d'entrée dans la plus prestigieuse écoles de magie.

Poudlard, l'école des sorciers réputée pour avoir formé les meilleurs utilisateurs de magie que le monde ai connu, encore aujourd'hui certains nom restent gravés dans la mémoire de tout les enfants et adultes d'Angleterre.

All Might, le plus connu et celui qui depuis toujours est le sorcier que j'admire et dont je rêve surpasser un jour.
Pendant des années, il s'est battu et continue encore aujourd'hui, contre les plus horribles sorciers qui rêvent de renverser le ministère de la magie et en prendre possession.

All Might, qui sauve toute ces personnes avec un immense sourire plaquée sur sont visages.
Il est, pour moi et plein d'autre, le plus grand Aurore de tout les temps.

J'attends donc ma lettre, assis à la table de la cuisine, tapant mon doigt inlassablement, et frénétiquement contre celle-ci, car même si je sais que je vais recevoir cette lettre tôt ou tard, je ne peux m'empêcher de stresser et si il y avait eu un problème, et si le directeur avait décidé que je n'étais pas assez bien et annulé mon inscription.

Même si les inscriptions à Poudlard sont faites dès la naissances d'un nouveau né dans une famille de sorcier, et que la mienne est assez réputée. Je ne peux m'empêcher de stresser et si je n'était tout simplement pas accepter à Poudlard.

- IZUKU PEUX-TU ARRÊTER DE TAPER SUR CETTE TABLE S'IL TE PLAÎT ! dit ma mère avec une frustration énorme présente dans sa voix.

- Pardon, maman mais je ne peux pas m'empêcher de stresser, imagine si la lettre n'arrive jamais ! Qu'est-ce que je vais faire ? Et mon rêve ? Je ne pourrais jamais l'accomplir, je finirai seul et renié par les sorciers ! Je ne pourrais jamais devenir Aurore... et-

- Izuku par pitié arrête ! Tout ira bien ! Je te le promet, tu es mon fils, tu es intelligent, gentil, beau et fort et tu es ambitieux. À seulement 11 ans, tu connais déjà la moitié des sort enseigné lors de la première année d'étude à Poudlard. Ne t'inquiète pas tout ira bien.

C'est ce que j'aimais le plus chez ma mère, elle était capable en quelque mot d'arrêter mes crises de panique et de me remonter le moral et par la même occasions m'empêcher de me mettre à marmonner pendant des heures et des heures.

Je la fixais , elle était belle, plus très jeune mais belle. Des cheveux verts qui quand elle était plus jeune lui valurent des moqueries mais dont maintenant, elle porte leur étrange couleur avec fière allure et fierté. Ses cheveux vert qui font écho aux vert émeraudes de ces yeux et dont j'ai tout les deux hérités.

Elle avait des cernes sous les yeux, résultat de toutes ces heures de travaille en plus qu'elle effectue pour le ministère de la magie. Mais un sourire radieux illuminé sont visages lorsqu'elle revenait du travaille car tout ce qu'elle faisait était pour atteindre sont but, un jour elle deviendrai ministère de la magie et cela quoi qu'il en coûte.

Se rendant compte que je la fixais, elle me regarda avec ce sourire dont elle à le secret, un sourire réservé à moi et moi seul. Avec ce sourire pas besoin de mot, je savais tout ce qu'il y avait à savoir. Elle m'aimait et je l'aimait tout autant pas plus pas moins.

Un bruit me sortir de ma contemplation, quelque chose venait de toquer à la baie vitré de notre cuisine. Ma mère tourna la tête autant surprise que moi. Puis nous nous regardèrent, j'étais tellement absorbé dans mes pensées que j'en ai oublié le plus important !

Ma lettre !

Un Chevêche des terriers était devant ma baievitré attendant patiemment qu'on lui ouvre pour apporter le lettre tant attendu.

Je me précipita devant la porte, trébuchant presque en l'ouvrant. Enfin, après si longtemps j'allais enfin pouvoir recevoir ma lettre d'entrée à Poudlard.

Une fois la porte ouverte, la chouettes rentra et fit un cercle au dessus de la table en hululant puis lâcha une lettre sur la table et reparti. Laissant sur la table la lettre qui changea ma vie.