Mon nouveau monde, Ma nouvelle vie.

16.

Lorenzo St John, est un vampire de 138 ans, il avait vécu beaucoup de choses et bien quil aimerait dire que c'était un vampire endurci, il ne pouvait pas lutter contre le petit élancement de peur qui s'infiltrer dans ses os.

Et sa craint venait dun enfant de presque dix ans, les gens pouvaient se moqué de lui par ce que sérieusement, il n'y a rien d'effrayant chez un enfant a une exception.

Théodore Porter.

L'enfant est huper protecteur envers sa mère et il ne doutait pas un instant qu'en grandissant, cette protection grandit aussi.

L'enfer même pourrait glacé face à la colère de Teddy.

Si les vampire pouvait transpiré, il n'y a pas a dire qu'il serait trempées pensa-t-il en se garant dans le garage souterrain d'Adaline.

***
Le lendemain de sa pitoyable fête de pitié, Adaline s'est réveillé a trois heures du matin avec un peut trop d'énergie pour une femme a bout de force physique comme mental.

En pyjamas, Adaline a débarquer dans sa cuisine comme quelqu'un en mission et a sorti tout sortes d'ustensiles pour faire des gâteaux.

La seul chose qu'il puissent la réconforter en dehors de sa famille mais elle n'allait pas réveiller ses garçons pour un câlin alors elle allait faire des gâteaux.

Les écouteurs dans les oreilles, sa playliste jouant au volume maximale, elle se mit à pâtisser.

Elle ne remercierais jamais assez Petunia de l'avoir forcé a faire des gâteaux pour sa famille de goûtons, Pétunia pouvait ce vanté que c'était elle la cuisinière hors pair mais dans la maison tout le monde savait qu'elle pouvait faire brûler de l'eau.

Elle était énervé de son attitude envers son amie la veille mais pleurer lui a fait un bien fous et Teddy avant de monté se coucher lui avait dit que rien n'était vrai dans sa conversation avec la femme au téléphone, elle n'avait pas questionner son fils, elle lui avait juste dit qu'elle attendrai des explications quand Enzo rendrait visite.

Avant de changer de monde, jamais au grand jamais Adaline Solia Potter-Black n'aurai chouiner pour une histoire de garçon, elle n'aurai pas fait comme la veille, pleurant et se plaignant comme un enfant.

Mais fallait qu'elle se disent qu'avant elle pouvait compter sur ses amis alors que là, ses amis mouraient un a un sans qu'elle ne révèle son secret à aucun d'entre eux.

"Mais dis-moi tes vérités
Coraline, Coraline, dis-moi tes vérités
Coraline, Coraline, dis-moi tes vérités
Coraline, Coraline, dis-moi tes vérités
Coraline Coraline"

Elle laissa la musique l'emporter loin de ses soucis pendant un moment, elle passa les heures suivantes en créant, monté et a concevoir toute sorte de pâtisserie.

Son objectif avant de s'occuper des personnes fragile, avant de sortir de son monde d'origine en catastrophe, avait été de monté sa propre entreprise de pâtisserie en compagnie de Mme Weasley.

Coraline belle comme le soleil
Guerrière pleine de zèle
Les cheveux comme des roses rouges
Ces précieux fils de cuivre, amour, prend-les pour moi
Si tu entends des cloches sonner
Tu verra Coraline pleurer
Ressentant la douleur d'autrui
Et la garde en elle

Peut a peut, sa cuisine se remplis d'odeur divine et tellement de gâteau qu'elle dû en posé sur la table de cuisine.

*****

Matt se réveilla avec la douce odeur de chocolat, levant le nez avec délice, il s'étira en faisant attention a Teddy qui avait ramper dans son lit cette nuit.

Clignant des yeux avec un petit sourire, il regarda avec stupéfaction son réveil, il n'était que huit heures.

Rare étaient les fois ou il se levé si tôt quand il n'avait pas école.

Se déplaçant avec précaution pour ne pas réveiller l'enfant dans son lit, il gémi en le voyant cligné des yeux groggy.

"Matt?" Teddy fronça les sourcils de confusion puis renifla la meilleure odeur de route sa vie, le chocolat " M'man fait des gâteaux " cria-t-il en sautant du lit.

Gloussant, Matt pris Teddy par surprise en le jetant par dessus son épaule avant qu'il ne cours dans les escaliers.

Sauf que, arrivant en bas des escaliers, il le remit sur ses pieds sans un mot.

"Oh mon dieu! "Chuchota les deux garçons en voyant toutes les merveilles entreposer partout dans la cuisine, Adaline était entrain de mélanger une pâte, de la farine partout sur elle que ce soit dans ses cheveux attaché ou son visage ou bien ses bras mais ce qui intercepta les garçons sont les cernes et le regard un peut maniaque qu'elle portait.

***

8h03.

Enzo souffla un bon coup en descendant de sa voiture.

Il marcha lentement jusqu'à la porte d'entrée et sursauta en reniflant, il y avait une odeur magnifique qui sortait dans l'air.

Ouvrant doucement la porte d'entrée il fit le moindre bruit pour ne pas risqué de réveiller les occupant de la maison bien qu'en arrivant au bout du couloir il aperçu deux formes.

Il avança juste derrière eux et comme les deux garçon il s'arrêta stupéfait.

***

Teddy se retourna lentement vers la présence derrière lui " J'espère que tu vas arranger ça !" Dit-il en pointant sa mère du doigt, voyant le hochement de tête rapide, il pris la main de Matt et partit dans le salon mais pas avant d'avoir pris deux pâtisserie au chocolat.

Adaline arrêta sa musique quand elle remarqua l'homme qui concernait sa tristesse.

"Enzo" dit-elle en posant son téléphone ainsi que ses écouteurs sur le comptoir plein de farine, croisant les bras.

"Chérie-"

"Non" Adaline leva la main en secouant la tête " laisse mou parlé d'accord ?" Le voyant aquiescer, elle continua.

"Hier, je t'ai appelé pour te dire enfin que je t'aime " elle grimaça en sentant ses yeux brûler " naïvement, j'ai pensé que toi aussi dans un élan de bonheur tu allais aussi me le dire mais j'ai eu ta femme au téléphone " cracha-t-elle en lui jetant un regard noir " que tu aime passionnément depuis neuf ans-"

"Stop" Enzo ne pouvait pas supporter de la voir dans cet état, elle avait laire d'avoir vécu l'enfer et sa voix craquelé de fatigue lui brisant le cœur figé dans sa poitrine " Chérie " commença t'il en s'avançant vers elle, soulagé quand elle ne retira pas les main de son visage quand il les posa délicatement " je ne suis pas marié, la femme que tu as eu hier, était une bimbo que j'ai hypnotiser "

"C'est toi que j'aime, depuis le début " fit-il en la prenant dans ses bras quand elle s'effondra en pleure contre sa poitrine " depuis que cette jeune femme magnifique ma sauvé de l'enfer "