| HISTOIRE EN COURS |
Mizune vient tout juste de faire sa rentrée au lycée Seirin, là où elle retrouvera son ancien camarade de Teiko, Kuroko. Des passions? Mizune n'en a pas vraiment. Elle n'est pas vraiment ambitieuse, elle se contente plutôt de...
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Le moment tant attendu, est arrivé. C'était enfin l'heure de l'affrontement qui avait créer autant de désenchantement. L'équipe de Seirin savait pertinemment à qui ils avaient à faire aujourd'hui, mais malgré tout, ils leur restaient leur mental d'acier. Alors ils serrèrent les dents, dans le but d'assurer leurs rôles à la perfection. Bien que cela puisse paraître improbable, ils jubilaient intérieurement à l'idée d'affronter des adversaires de taille. Enfin... à l'exception de certains.
Furihata: J'ai... J'ai... P... PEUR! On va tous mou... mourir! Balbutia-t-il, en se cachant derrière l'un d'eux, en affichant une mine apeurée.
Hyuga: Alleeer, Furihata un peu de courage. Le rassurait-il, d'un ton affectueux en lui adressant un sourire.
Pendant qu'ils longèrent le couloir menant au gymnase, Iona profita de cet instant en se glissant à côté de sa sœur dans sa marche.
Iona: Riko? L'appela-t-elle, d'un ton craintif.
Riko: Qu'est-ce qu'il y a? Lui demanda-t-elle, froidement.
Iona: ...Maintenant que je fais partie de l'équipe en tant qu'assistante, je me suis dis que j'avais peut-être ma place sur le banc de touche... À côté de toi? Lui demanda-t-elle, d'une petite voix.
Riko: Ah bon, tu fais partie de l'équipe? Pouffa-t-elle, tout en gardant son air hautain.
Iona: Il me semblait que oui!
Riko: Iona... Ça ne serait pas possible. Je ne veux pas te vexer en disant ça mais tu me ferais plus honte qu'autre chose. Répondit-elle, d'un ton acerbe.
Iona: Mais qu'est-ce que tu racontes?! Attends, t'es pas sérieuse là? Lui demanda-t-elle, d'un air agacée en affichant un sourire nerveux sur ses lèvres.
Riko: Ne discute pas et va dans les tribunes. Ordonna-t-elle, sèchement.
Iona s'était abruptement arrêtée dans sa marche, en les regardant partir au loin. Elle n'avait pas insisté d'avantage, car avant même qu'elle lui pose cette question, elle s'attendait déjà à cette réponse.
Alors elle s'exécuta, et s'en alla docilement du couloir.
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Enfin arrivée dans les tribunes, l'angoisse venait de me transpercer. J'observais le monde autour de moi, et la méfiance se lisait à travers mon regard. Après avoir passer quelques regards furtifs des deux côtés des tribune, je pris place sur l'un des sièges d'un air parfaitement naturel.
