Une petite fille au Shisengumi (en Pause)

Shizko

Il pleut. Les ruelles sont froides et déserte. Une petite fille est assise contre un mur. Elle a l’air d’être malade. Le torrent de pluie lui tombait dessus. Elle sera fort ce long bâton enroulé d’une épaisse bande pour le protéger de la lourde pluie. Un gang arriva près de la petite. Il voulait la torturé. Lui volé la seule chose qui lui restait, son long bout de bois. Celui que lui a confié son sensei. La petite se leva affaiblie et essaya de partir le plus vite qu’elle pouvait. Mais en sortant de la ruelle, elle percuta une personne. Une personne ayant un long habit bleu et blanc, celui du Shisengumi. Elle le regarda un moment intriguée. Puis elle se souvenu se que son sensei lui avait dit sur le Shisengumi. Elle s’accrocha d’une main à l’habit de cet homme. « Peux-tu m’aider s’il te plaît » Dit-elle d’une voix très affaiblie. L’homme eu de la peine pour elle. Il se débarrassa du gang et se mis accroupi à la hauteur de la jeune enfant. Cet homme avait les cheveux bruns-rouges et les yeux de couleur émeraude. Et oui, c’est bien Souji Okita.

Souji : Est-ce que tu vas bien ?

La petite ne répondit rien. Elle tremblait.

Souji : N’aie pas peur. Je ne te ferai aucun mal.

Il mit une main sur le front de la petite. Elle était brulante de fièvre. Un autre homme étant également du Shisengumi arriva. Il avait les cheveux noirs et les yeux violets, son nom, Hijikata Toshizo.

Hijikata : Qui a-t-il Souji ?

Souji : Elle est brulante de fièvre et je l’ai sauvé d’un groupe de rônin.

Hijikata : Où habites-tu petite ?

Petite : (voix faible) Edo…

Souji : Tu es venue depuis Edo ? Où est la personne qui t’accompagne ?

Petite : Toute seule…

Hijikata : On ne peut la laisser la seule et malade. On la prend avec nous.

Souji tendit ses bras vers la petite qui fixait Hijikata. Elle tendit son bâton à Hijikata.

Petite : C’est… très précieux.

Hijikata : J’en prendrai bien soin ne t’inquiète pas.

Hijikata pris ce que la petite lui avait tendu et elle regarda les bras de Souji. Elle était gênée, elle ne voulait pas trop qu’on l’aide. Elle pouvait les mettre en danger. Elle tendit ses bras vers Souji. Il l’a pris dans ses bras et l’a porté sur son dos. Hijikata enleva son habit bleu et le mis sur la petite pour la réchauffer un peu. Le lendemain matin, la petite dormait toujours dans la chambre de Souji. Sa fièvre avait baissé mais elle était toujours bien trop haute pour une petite de son âge. Une jeune fille étant habillé comme un garçon, Chizuru Yukimura, entra apporter à manger et à boire à Souji qui veillait sur la petite. Plus tard, elle apporta du thé et de quoi rafraichir le front de la petite. Elle voulait aussi aider de mieux qu’elle pouvait l Shisengumi. La petite fut prise d’une forte toux pendant qu’elle dormait. Souji la leva un peu, puis, quand elle eut fini de tousser, il l’a recoucha. Elle transpirait beaucoup à cause de sa forte fièvre. Souji est sorti prendre l’air un moment pendant que Chizuru s’occupait de changer les habits de la cadette. Après une semaine de repos, la petite put enfin sortir de la chambre et se promener un peu dehors. Elle devait éviter de marcher. Car quand Chizuru l’avait changé la première fois, elle a remarqué beaucoup de blessure sur la petite. Surtout une grande à la jambe. Elle était sur les épaules de Souji, elle souriait et rigolait. D’après ce qu’elle avait dit, ça faisait un moment qu’elle ne s’était pas autant amusé.

Petite : Souji-kun ?

Souji : Oui ?

Petite : Euh… tu ne connais as un… euh… non rien oublie.

Souji : Dit toujours.

Petite : On peut retourner dans la chambre ? J’ai envie de dormir.

Souji : Bien sur petite princesse.

Petite : Merci

Quelque jour plus tard, elle alla enfin manger avec les autres et faire connaissance avec eux. Elle resta accrochée à Souji, il ouvrit la porte, et le regarde de la petite se posa directement sur le grand homme aux cheveux rouge foncé et aux yeux jaunes également foncé au nom de Sanosuke. Le regard de Sano croisa celui de la jeune. Ils se regarderent un moment avant que Itou fasse son apparition.

Itou : Alors c’est elle la gamine ?

La jeune ne bougea pas, elle ne faisait que de le regarder. Souji alla s’assoir et regarda la petite.

Itou : Dit moi ? Quel est ton nom ? A te voir tu viens d’une famille pauvre et bête n’est-ce pas ? C’est ce que l’on peut en juger en te voyant. Petite gamine.

La jeune avait toujours un visage un peu neutre elle s’avança vers Itou et elle le regarda un moment. Sano échappa un petit gloussement de rire. Itou baissa sa garder pour regarder Sano.

Petite : Un samouraï ne baisse jamais sa garde.

Au moment où Itou allait regarder à nouveau la petite, elle lui donna un coup dans le tibia. Itou se tordi de douleur.

Itou : Sale gamine

Petite : Tu ne sais rien de moi ni de ma famille. Mais une chose est sûre c’est que je n’aime pas le surnom que tu me donne.

Elle lui tourna le dos et alla en face de Sano avec un petit regard heureux et timide. Sano qui était assis en tailleur, avait ses mains sur ses genoux. Il les enleva et se mis un peu en arrière.

Sano : Tu sais Itou-san. Je pense qu’elle n’aime pas le surnom de gamine.

Sano fixa toujours la petite avec un largue sourire.

Itou : Et comment veux-tu que je l’appelle ?

Sano : Par son nom.

Itou : Mais personne ne le connais !

Sano : Moi je le connais.

Kondou : A bon ? Alors ?

Sano : Shizko…

Shizko : Harada… je suis Shizko Harada.