Chapitre bonus 20K

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Voici le chapitre spécial 20.000 vues!

PDV HERMIONE:

Je lisse les plis de ma robe blanche. Je fais quelques pas en avant pour vérifier que je tiens sans problème sur mes petits talons de la même couleur, laissant apercevoir le côté fendu de la robe. Le haut de mon corps est moulé, montrant mon ventre légèrement arrondi bien qu'assez discret, tandis que le bas est plus évasé.
Mes cheveux relevés dans un chignons stricts dévoilent mon dos nus.

Toc, toc, toc!

En bas des escaliers, j'entends Sirius m'appeler.

Sirius- Ils sont arrivés!

Je regarde une dernière fois dans mon miroir et descends les escaliers avec précaution.
Dans l'entrée, j'entends déjà les voix de Sturgis et Marlène ainsi que Regulus avec qui Sirius c'est pleinement réconcilié. Malgré les tensions, après quelques disputes, de nombreuses discussions et beaucoup de rancoeur effacée l'un envers l'autre, ils ont réussi à passer à autre chose. Sirius ne reparle par contre toujours pas à ses parents mais on ne peut pas l'en blâmer.

Je marche rapidement pour rejoindre mon mari et pour accueillir mes invités.

Moi- Sturgis! Ça fait si longtemps.

Je saute dans les bras de ce qui se rapproche le plus d'un frère à mes yeux et il m'embrasse la joue. Depuis mon retour, le blond et moi avons développé une réelle complicité que je ne saurais expliquer. Sûrement qu'avoir tué un basilic ensemble nous a plus rapprochés que je ne l'avais remarqué au début. Je sers également Marlène dans mes bras et fait la bise à mon beau-frère.

Marlène- Hermione! Félicitations! Tu mérites tellement ce prix.
Moi- Merci Marlène. Mais il faut surtout remercié mes liens familiaux.

Je fais un clin d'œil à la blonde.
Regulus connait aujourd'hui la nature de ma présence à cet époque, mais tout reste assez flou à ses yeux et je ne suis pas pressée que ça change. Sirius ne souhaitait plus avoir de secret envers lui mais plus des gens sauront pour le voyage dans le temps de deux dates si éloignée, plus des fervents de Voldemort ou des fous de sensations fortes pourraient vouloir tenter de recréer un moyen de faire un voyage similaire aux miens.

Depuis que je suis revenue, la vie de chacun c'est stabilisé. Avant mon retour, la guerre était encore trop proche pour que tous puissent avoir une vie normal.

À présent, nous avons tous un poste stable. Une famille en forme. Et un bel et long avenir qui s'étale face à nous.
Sturgis est devenu Langue-de-plomb, rendant extrêmement fières toute sa famille et ses amis. Ce poste est très difficile à atteindre. Il doit tout garder secret et il part assez souvent en voyage.
Les Longdubas voyagent énormément également. Alice est botaniste et Frank est devenu briseur de maléfice. Ils partent très souvent avec Neuville et sa grand-mère. J'ai d'ailleurs eu la chance de rencontrer cette vieille femme qui a l'air de vraiment aimé son petit fils. L'idée que le Neuville de mon époque ait tout de même été aimé très fort malgré le manque de ses parents m'a réchauffé le cœur.
Remus, lui, travaille à Poudlard. Il est professeur de défence contre les force de mal et adore son boulot.
James, Lily et Sirius ont fini leur formation d'Auror depuis 2ans maintenant. Ils sont officiellement des défenseurs du monde magique. Ce qui ne leur change pas tellement de l'époque de l'Ordre finalement.
Emmeline est devenu oubliator et a une magnifique petite fille nommée Dorcas, en l'honneur de notre amie décédée.

Moi, je travaille au département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Je me bas, comme je l'aurai sans aucun doute fait à mon époque, pour la libération des elfes de maisons.
Dobby y travaille avec moi, comme l'égal de chaque autres sorciers. Ce qui a le don d'horrifier plus d'un sang pur et ce qui me permet de les remettre à leur place. On me lance régulièrement des insultes vis-à-vis du fait que j'ai des parents moldus.
J'ai décidé de garder cette partie de ma vie car c'est plus sûr pour ma couverture qu'il n'y ait aucune chance que des pseudos parents sorciers soient invités pour des évènements comme aujourd'hui. De plus, ça me permet de parler de mes parents comme si ils étaient toujours les miens et non pas ceux de la nouvelle moi.

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