Chapitre 27

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Le week-end arrive et je suis une vrai boule de stresse

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Le week-end arrive et je suis une vrai boule de stresse. Tom lui au contraire a l'air de prendre la chose plutôt bien. Quand je vais le chercher à la gare il a un sourire jusqu'aux oreilles.

- Bonjour toi. Dit il en posant sa bouche sur la mienne
- Pas ici tom il y a trop de monde...
- Tu as raison.

Nous marchons jusqu'à ma voiture et Tom me regarde un peu inquiet.

- Ne te fit pas à son apparence. Elle roule très bien.
- Je suis obligé de te croire sur parole là.

Il monte dans mon vieux taco et nous prenons la route jusqu'à son hôtel. Tom doit rencontrer mes parents ce soir, quand je lui en ai parler il a tout de suite accepté à ma grande surprise.

Nous arrivons a l'hôtel, Tom récupère sa clef de chambre et nous montons dans la suite. A peine la porte fermée il se jette sur ma bouche me coupant le souffle. Mes jambes viennent prendre leur place autour de sa taille et il colle son intimité contre moi. Je souris contre sa bouche et regarde vers sa braguette gonflée.

- Déjà ?
- Tu m'a beaucoup manquée. Dit il en se mordant la lèvre.

Nous prenons le temps de nous retrouver, des baisés langoureux, des caresses. Je prend le temps de caresser chaque partis de son corps retrouvant chaque sensations. Une fois nos vêtement enlevée, tom prend le temps d'embrasser chaque partis de mon corps avant de nicher sa tête entre mes cuisses. Je me cambre sous l'assaut de sa langue et tire ses cheveux qui ont encore poussées. Sa barbe me pique et irrite la peau de mes cuisses laissant des traînées rouges sur son passage. Il insère deux doigts en moi et j'explose sur sa langue crispant les mains dans ses cheveux. Il remonte lentement passant sa langue sur mon ventre jusqu'à ma poitrine où il joue avec chacun de mes seins. Il termine son chemin sur mon lobe d'oreille et viens s'insérer en moi doucement.

J'insulte des hanches me calant sur chacun de ses mouvement. Tom prend son temps, il prend un rythme lent entrant en moi centimètre par centimètre fixant son regard au mien. Quand il entre en moi, j'ouvre la bouche sans le vouloir poussant un gémissement de bien être. Je me sens enfin complètement. Il prend soin de venir frotter son pubis à chaque coup de rien me faisant plonger dans un orgasme qui fait trembler tous mon corps.

Tom soude sa main à la mienne et ne lâche pas mon regarde pendant que je succombe les larmes aux yeux.

- Tu es tellement belle ... je t'aime comme un fou lisa...
- Je t'aime ... dit je dans un murmure.

Il soude enfin sa bouche à la mienne et finie quelque minutes plus tard.

Le soir même je tourne en rond pendant que tom se prépare me rongeant les ongles. Le stresse commence à monter.
Tom sort de la salle de bain et tourne sur lui même devant moi.

- Alors ?
- Tu es parfait comme toujours.
- Tu es prête ?
- Je pense que oui.

Tom m'aide à enfiler mon manteau et nous prenons la route pour aller chez mes parents. Arriver devant la maison tom prend ma main tremblante dans la sienne pour me rassurer. Comment peut il être aussi calme ? Je n'ai jamais présenter quelqu'un à mes parents, je ne sais même pas comment ma mère va réagir. Je regarde Tom et resserre sa cravate autour de son cou.

- Je pense qu'elle ne bougera pas dit il en souriant.
- Pardon.
- Ça va aller lisa.
- Oui. Oui.

Je pousse la poignée et entre en première dans la maison tom sur les talons. Mon père nous remarque tous de suite et affiche un grand sourire. Quand ma mère sort de la cuisine je vois son visage se crisper.

- Le dîner est prêt dit elle sèchement avant de retourner dans la cuisine
- Ça s'annonce mal.. dit je en direction de tom.
- Venez par ici vous deux ! Crie mon père

Nous avançons vers le lit médicalisé de mon père, tom tend sa main vers lui et mon père sa serre avec entrain.

- Bonsoir monsieur Bouviez. Enchanté de vous rencontrer je suis tom.
- Appelle moi Fred mon vieux. Assis toi là j'ai quelque truk à te dire. Lisa va aider ta mère.
- Oui.

Je me lève et laisse mon père et Tom, celui ci m'envoie un clin d'œil et je rejoint ma mère ou plutôt la reine des glaces dans la cuisine.
A peine ai je passée la porte que je suis accueillie par son regard accusateur.

- Maman s'il te plaît... je sais que c'est difficile à accepter mais ...
- Ça va lisa... j'espère juste que tu te protège je ne voudrai pas que tu te fasse manipuler.
- Tom n'est pas comme ça maman. Fait moi plaisir et parle lui ... tu t'en rendra compte par toi même.
- Il me dit quelque chose...
- Ah bon ?
- Qu'est ce que tu me caches dit elle en posant ses mains sur les hanches
- Tom est ...

Nous entendons mon père rire au éclats et ma mère écarquille les yeux. Depuis son retour de l'hôpital ça faisait des jours qu'il n'avait pas rie comme ça. Ma mère prend un grand inspiration et je l'aide à apporter les plats à tables.

- Qu'est ce qu'il se passe ici ? Dit elle en arrivant dans la salle à manger. Bonjour je suis Isabelle.
- Enchanté de vous rencontrer madame.

Nous nous installons à table, même mon père fait l'effort de venir avec nous. Tom prend ma main en dessous de la table et la serre. Le repas se passe bien même ma mère discute volontiers avec Tom.

Enfin de soirée, au moment de partir mon père enlace Tom dans ses bras et lui donne une tape dans le dos. Ma mère lui serre la main toujours un peu froide mais on ne la changera plus maintenant.

- À tout à l'heure !
- Comment ça ? Je ne veux pas te voir avant lundi ! Crie mon père.
- Mais ?
- Profites de ton week-end mon lapin. Dit il en me lançant un clin d'œil.

Je part alors enlacer mon père.

- Je l'aime beaucoup... chuchotte t'il a mon oreille.

Je sourie les larmes aux yeux et rejoint tom qui m'attend dehors avec ma mère. Quand Tom me voit il sourie, je dit au revoir à ma mère et nous reprenons la route jusqu'à l'hôtel.

- De quoi vous avez parler avec mon père ?
- D'un peu de tout. Dit il sur un air mystérieux.
- Tom ...
- Il m'a demander de prendre soin de toi de te rendre heureuse et de veiller à ce que tu profite de la vie.

Les larmes me monte naturellement. Tom pose sa main sur ma cuisse.

- Qu'est ce que tu as dit ? Dit je doucement
- Que s'il le fallait j'y passerai ma vie.

Professeur Hiddleston Où les histoires vivent. Découvrez maintenant