Chapitre 19

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Je franchis enfin la porte de l'hôpital. Ça fait tellement de bien de se retrouver enfin libre. Ma tête me fait encore un peu mal et j'ai besoin de beaucoup de repos. J'avance, a la recherche d'un taxi, lorsqu'une voiture s'arrête devant moi. La vitre se baisse et je vois Alex au volant. Il ne me regarde de ses yeux durs.

- Monte. Me dit-il.

Je m'exécute sous son regard froid. Lorsque je suis installée, il démarre au quart de tour et je me cramponne au siège.

Je sors de l'hôpital et il se comporte comme ça?? Sympa...

Je regarde ses mains sur le volant. Ses jointures sont blanche à force de serrer de toutes ses forces.

Il a l'air très très énervé... Je vais prendre très très cher...

Lorsqu'il s'arrête, nous somme chez lui. Comment est-ce possible? Il ne m'a jamais amenée que dans son hôtel... Il sors de la voiture, ouvre ma porte et toujours sans un mot m'introduit chez lui. J'atteins le salon et soudain, Alex m'attrappe et me porte sur son épaule.

Je ne suis pas un sac à patates!!

Je retiens un cris de surprise lorsqu'il me laisse tomber sur son lit. Il s'y assoit et retire ses chaussures. Je n'ose pas bouger. Sans même un regard, il m'attrape par le bras et m'allonge violemment sur ses genoux. Avant que je comprenne ce qui m'attend, il descend mon pantalon, ma culotte et fait claquer bruyamment sa main sur ma fesse. Je crie. La douleur se repend dans tous mon corps. Il m'ordonne:

- Silence femme!

Je ne comprend plus rien. Il joue à quoi? Sa main claque encore une fois, dure sur ma fesse et la douleur me transperce à nouveau. Il réitère encore et encore, puis s'attaque à l'autre fesse. Les larmes me montent aux yeux. Cependant, la douleur laisse place au plaisir. Un plaisir primaire. Je le veux. Je sens sous moi son érection naitre. Il me soulève, me jette sur le lit et sans même prendre le temps de descendre d'avantage mon pantalon, sors sa queue et me pénètre. Moi à quatre pattes, lui derrière moi. Ses mains aggripent mes cheveux et les tirent en arrière, me forçant à me cambrer. Ses vas et viens sont violents, sans aucune tendresse.

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