Chapitre 2: Close De Desirabilité (nda #billie Eilesh)

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Il tape frénétiquement sur le clavier de la machine doré. Puis se retourne pour me regarder avec son éternel sourire chaleureux.

_nous devons établir un contrat sur papier, donne moi cinq conditions que je devrais obligatoirement respecter, et je ferai pareil, d'accord ?

J'opine. Je dois y mettre mes valeurs, mes limites, des choses qui me tiennent à cœur, les résultats des leçons que la vie m'a donné.
Je prends une grande inspiration afin de commencer réfléchir.
Mes parents depuis très jeunes me battaient, mon père dès le jour dès ma naissance mon père a été catégorique sur le fait que je n'étais pas sa fille à cause de mon hetero chromie alors il a fait la misère à ma mère et me battait à chacune de mes erreurs et ma mère me battait juste pour évacuer sa frustration et son impuissance face à mon père, les conditions familiales empathisaient sur chaque membre de la famille, moi je me suis enfermé dans musique et mes parents ont commencés la drogue.
Mais le dernier jour de classe du cour moyen deux, quand j'ai posé le pied dans ma maison, une odeur des plus Immondes inondait l'intérieur de la propriété. Je marchais prudemment jusqu'à l'intérieur du salon simpliste. Et deux corps un féminin allongé dans le canapé en faux cuir rouge et un masculin assis sur une chaise en bois une arme à la main, paraissaient être ceux de mes géniteurs . Mon corp ne répondait plus la seule chose que j'ai fait à ce moment là c'était de pousser un hurlements strident qui a alerter nos voisins qui ne sortaient jamais de chez eux. J'ai eu droit à une thérapie, et mon oncle a été désigné comme mon tuteur légal mais il est toujours en déplacement, il ne connaît rien sur ce que je vie au lycée. Mais après la mort de mes parents je n'ai pas versé une larmes... À quoi bon ?

_aucun sevice corporel.

Il se retourne d'une traite et me lorgne une expression interloqué sur le visage.

_pourquoi je ferais ça ?

_qu'est ce que j'en sais moi ?

_bref, quatrième ?

Je réfléchis un peu et le visage de jaden me revient comme un flash.

_la quatrième lois est que tu ne dois me forcer à rien je ne suis pas un jouet.

Il continue de taper, joue soutenue grâce l'une de ses mains tandis que l'autre tape les touches du clavier, il se retourne vers moi un regard signifiant "continue je t'écoute", je descend du lit, me place derrière lui et tien le dossier de sa chaise de bureau.

_tu fais quoi là ? Me demande t'il les yeux rivés sur l'ordinateur doré.

_je vérifie que tu note ce que je te dis et non ce que tu as envie d'entendre. Ma voix était glaciale.

Il rigole un peu et lève les yeux pour m'observer avant de dire dans le plus grand des calmes.

_je n'aurai pas besoin de ça pour te contraindre à coucher tu sais.

Je le regarde d'une manière impitoyable et froide, il éclate de rire, un rire grave qui résonne dans cette pièce, comme si c'est ce sont qui manquait au décor. Devant cette image je fais un micro sourire.

_que tu dise. La loi numéro trois, ne m'ignore pas, ne te comporte pas comme si tu ne me connais pas, quand je t'appelle tu viens un point c'est tout.

Il tape mots pour mot ce que je viens de dire. J'expire et poursuit.

_ ne me complimente jamais.

Il m'observe sceptique puis souris de manière enfantine.

_je ne suis pas sur de pouvoir exécuter cette lois, tu es bien trop...

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