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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤

Hidayaa: Libère moi...

Hidayaa

J'ouvre les yeux, la tête qui tourne sans trop comprendre où j'étais.
Je sent le sol froid, j'étais encore pommée.
J'essaye de bouger mais impossible, je sentais que mes deux mains étaient liées.

Après avoir été bien réveillé je remarque que je suis dans une cave les mains attachées.

Les larmes me montent aux yeux en me souvenant de ce qu'il c'était passé.
Mon père m'avait eu, encore une fois.

Le coter de gauche de mon visage me procurait des tas de douleurs, je devais sûrement avoir une blessure digne de ce nom.

Des pas se rapprochent de la porte, mon cœur se mit à battre à une vitesse indescriptible.
La porte s'ouvre brutalement.

La pourriture qui me sert de père se trouvait en cher et en os en face de moi.

Je n'avais pas les mots, il avait allumé la lumière et m'avait regardé avec un immense sourire jusqu'aux oreilles.
On aurait dit que je lui avait manqué.

Mon père: Tiens tiens tiens, mais qui vois là-je? Hidayaa...la petite peste qui n'écoute pas son papa.

Je voulais l'insulter de tout les noms tendis que lui s'approchait dangereusement de moi en même temps que son regard noirciçait de plus en plus.

Mais je n'avais pas les mots. Aucun son ne sortait de ma bouche. Son visage me terrorisait et je ne pouvais pas faire autrement.

Mon père: Ah mais c'est que ton petit Issam t'as ramené chez ta mère la pute hein..

En l'entendant parler comme ça de ma mère les mots me viennent directement.

Moi: La pute c'est toi.

Et bim.
Un coup de poing dans la gueule de Hidayaa c'est vrai que ça fait plutôt mal.

Mon père: Parle moi bien, j'suis pas ton pote.

Moi:...

Mon père: Oui c'est ça ferme ta gueule. Je vais bien m'occuper de toi, j'ai été beaucoup trop gentil.

Ah parcequ'il était capable de faire pire? Bah dit donc..

Il m'envoie encore une fois un coup de poing un peu plus violent avant de me cracher dessus.

Eurk, dégueulasse.

Mon père: Maintenant c'est toi. Bientôt c'est Issam que j'attraperai, ce petit fils de chien et je le décapiterais.

À ce moment là j'imaginais toute les horreurs qu'il pourrait faire à Issam et ça me traumatisait rien que d'y pensé.
J'étais donc rester silencieuse.

Il lâche un ricanement avant de me regarder.

Mon père: J'avais jamais remarqué que j'avais une si belle fille..

𝑯𝒊𝒅𝒂𝒚𝒂𝒂: 𝑳𝒊𝒃𝒆̀𝒓𝒆 𝒎𝒐𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant