Vers où aller ? [TOME 2]

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bonsoir bonsoir vous, ça fait longtemps !! ravie d'enfin revenir avec de nouvelles choses <33

sans vous mentir, j'ai eu un gros manque de motivation pour cette histoire, donc voilà pourquoi le temps d'écriture a été si long... mais bon- j'espère que ce nouveau tome vous plaira autant que le premier :)

(j'ai pas eu le courage de vous faire une intro cette fois-ci, sorry-)

bonne lecture <33

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Sur les hauteurs de la ville endormie, à deux pas des bois obscurs cachants ces horribles hyénidés tant redoutés. Sur le toit de cet édifice toujours éveillé, loin de tout ce vacarme incessant, ce sentiment partagé ne peut qu'embellir leur journée.

Installés inconfortablement sur de fébriles marches d'escaliers humides et poussiéreuses étants, tout comme nos jeunes héros, éclairées de ce bloc de secours verdâtre, c'est une discussion bien enflammée qui anime leur soirée.

Le sentiment de paix, loin de toutes responsabilités le temps d'une petite demi-heure, près l'un de l'autre à raconter leurs journées peu palpitantes. Ce n'est pas très fabuleux, que voulez-vous-

Sous ce vent frais d'hiver ainsi que cette fine bruine concluant les journées froides assez fréquentes de cette région, Maxime frissonnait légèrement malgré son épaisse couche d'habit. Cyril quant à lui riait de la situation, son pauvre ami à la réputation de « ronchon » ne faisait qu'accentuer ce propos.

Maxime : "Viens on bouge aller..." ronchonnant

Maxime s'était levé tout en frottant frénétiquement ses mains entre-elles, amenant son acolyte à le suivre.

Maxime : "Je te jure j'ai la haine." descendant les escaliers rapidement

De suite après être rentré, le couloir sombre accompagné à nouveau de cette forte couleur verdâtre mit fin à ce froid glacial.

Cyril : "C'est que des étoiles hein" se moquant encore une fois de son comportement

Maxime : "Mec. Ça fait 1 semaine que j'attends le moment et voilà encore une fois ce temps de merde qui gâche tout." s'arrêtant brusquement "Et c'est pas des étoiles. Fait gaffe à ce que tu dis" pointant le doigt sur Cyril avec ironie "C'est lorsqu'une météorite passe dans l'atmosphère et qu'elle laisse un trait avec sa chaleur et sa vitesse."

Cyril : "Excuse moi...Einstein, Chirac, je sais pas qui tu veux." sachant pertinemment la réaction de Maxime qui répondit avec un simple coup de poing dans l'épaule

Maxime : "Tss t'es con." riant légèrement

Ici n'est qu'une soirée banale parmi tant d'autres. Se poser sur le toit de ce bâtiment à contempler le ciel et tout ce paysage peu merveilleux et ni naturel comme ils aimeraient. Citadine, voilà comment est devenue cette base militaire perdue au milieu de la végétation.

Les bâtiments à n'en plus finir, les immenses murs protégeant la base...il n'y a pratiquement plus aucun moyen de sortir d'ici.

Alors que l'effectif de la Division ne faisait qu'augmenter, il était inimaginable de rester dans cette ancienne base si peu accueillante, c'était devenu de la survie. Également, les prisonniers à n'en plus finir accumulés dans les larges prisons occupaient un espace assez important. Étant donné que la peine de mort des détenus fut abolie il y a de ça quelques mois maintenant, ce n'était plus supportable.