Partie 17 : amour et mensonge

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rappel : et ensuite je trahirai celui que je voulais sauver.

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Quelqu'un m'appellais, je me retournais et je vis Lysandre qui me rattrapa en un éclair. Je voulais a tout prix éviter le sujet de mon choix, sinon il comprendrais mon plan et donc mon mensonge. Mais d'autre part je savais qu'il le découvrirait.... mais eu fond ça ne me faisait rien, je savais que Usui et moi avions fait le bon et unique choix.

- Pourquoi l'avoir choisis lui?

- Car malgré les apparences j'ai toujours aime Sata.

- Faux tu peux embobiner qui tu veux avec tes mensonges mais moi je sais la vérité. Quand je bois ton sang c'est comme ci j'avalait tes sentiments les plus profond. Alors je sais que tu ne l'aime pas.

- Tu ne sais rien de moi.

Il me regarda sourit et pris ma nuque pour s'abreuver de mon sang. Cette fois je ne voulais pas car si il disait vrai cela voudrait dire qu'il découvrirait mon plan grâce a mon sang. J'essayais de le repousser, mais une ombre noir apparus. Oui il m'avait bandé les yeux, il ne m'avait pas mordu mais je le sentit me soulever. Je ne voyais pas ou il me conduisais. Il s'arrêta enfin et me fit asseoir sur une chaise, je le sentit prendre mes mains et les noués entre elles contre le dossier de cette chaise. Il fit de même avec mes pieds. Il n'était pas bête, en effet dans ce moment la je ne pouvais plus bouger. Le bandeau sur mes yeux commença a descendre, il le dénouer, puis il le retira.

- Ouvre tes yeux et maintenant dis moi encore si tu l'aime, dit le droits dans les yeux.

Il avais sûrement deviné que je ne l'aimais pas vraiment mais que cela faisait parti de mon plan. J'ouvrit péniblement les yeux, rien je ne vis rien la pièce était plongé dans la plus total obscurité. Cependant je pouvais sentir sa présence, il m'expiais de partout, cela rendait la chose encore plus troublante. Je fit donc ce qu'il me demanda, je lui dit que je l'aimai même si cela était totalement faux. J'essayais de lui dire droits dans les yeux comme il l'avais demande mais ce fut compliqué car je ne savais en aucun cas ou il se trouvait.

- Tu l'aime vraiment ou tu veux juste l'utiliser pour un plan qui te coûtera sans aucun doute la vie juste pour me sauver. Si je me trompe redit le mais cette fois je suis sur que tu ne pourras pas le dire. Quand vas tu comprendre que je ne veux pas que tu me sauves!

- Je le dirais si cela te fais plaisir mais tu ne m'empecheras jamais d'accomplir ma tache, c'est le but de ma vie!

- Très bien je te lance le défit, si tu arrive a le redire je te laisserais me trahir et me sauver au prix de ta petite vie d'humaine. Mais si jamais tu échoue, ou que tu n'arrive pas a le dire en entier, c'est moi qui te protégeras et tu lui diras que ce n'est pas lui que tu aimes mais moi, en gros tu lui diras la vérité, la stricte vérité.

Je n'arrivais pas a comprendre a quoi il jouait. Il avait l'air sur de lui, mais je savais que je pouvais le redire, c'était une chose simple. J'acceptai son pari, je savais très bien que je gagnerais même si au fond il n'avait pas tort. C'était lui que j'aimais et non Sata mais qu'il en soit ainsi. J' allait m'apprêter a le redire pour qu'il me lâche et me laisse accomplir ma raison d'être. Mais je ne pûs sortir le mots, je sentais sa présence ce rapprochais, c'était troublant car je ne le voyais pas, cela me gênée.

- Alors dit le.

- Je ....

Cette fois je savais qu'il était devant la chaise sur laquelle j'étais, sa main était pose sur mon genou. Il voulais me déconcentrer, j'aurais dut men doutais je ne faisait pas le poids contre lui. Mais je devais a tout prix y arriver pour atteindre mon plan. Il se pencha vers moi, je sentais son souffle sur ma joue. Il allait gagner je ne pouvais pas l'accepter.

- Arrête!

- Non je veux que tu le dise peut n'importe ce que je fasse.

- C'est.... de la triche.

- Non ce sont juste mes règle de jeu. Alors va y dit le, tu n'as plus beaucoup de temps.

- J'aime....

Non impossible les mots se bloquaient au fur et a mesure que je voulais les sortir.... Je pouvais de nouveau bouger mes mains, il me les avait détachaient, il m'en rattacha une mais laissa l'autre, il la mit dans la sienne.

- Plus vite dit le tu n'as plus que quelque minute.

Il colla ma main contre son torse, il avait sûrement dut enlever sa chemise d'uniforme. Non il avait gagne je ne pouvait pas le dire. Il avait raison, j'vais l'amantablement échouée.

- cinq.... quatre..... trois..... deux....... un..... j'ai gagné.

A la fin de sa phrase ma main toujours sur son buste, je sentit une odeur familière. Ma main était dans une sorte de liquide. L'odeur.... du sang, il saignait. Je me débattais pour détachait mes pieds et mes mains. Je tapotais son buste pour découvrir d'ou venait tout ce sang. Je trouvai finalement un poignard qu'il c'était lui même enfonçait. Je le prit dans mes deux mains et le retira d'un coup sec de sa plaies.

- Pourquoi as tu fais ça!

- Tu le sais très bien même plus que moi....

- Oui si tu t'enfonce un poignard ou n'importe quelle type d'arme dans le coeur.... si celle ci provoque une hémorragie alors dans ce cas tu dégénéreras d'un coup.

- Et comme tu as perdu notre paris tu n'as pas eu le temps de mettre ton plan a exécutions donc regarde moi mourir sous tes yeux et je t'en supplie je ne veux pas voir une seule larmes sortir de toi.

- Faux je ne tiendrai pas ma promesse je refuse de te voir mourir!!!!!!!!!!!

Je suis la cara, j'ai des pouvoirs et je l'ai ai tous étudier. Je sais aussi que si je lui donne ma chair il guériras. Je pris le couteau, ferma les yeux et me coupa la peau.

- Idiote.

- Ne meurs pas! prend ma chair!

A SUIVRE .....

Ce sentiment étrangeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant