Chapitre II

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Le soleil n'était à peine levé que leur père les réveillait de leurs profonds sommeils, il avait déjà préparé le cheval.

- Lève-toi jean, c'est l'heure de partir pour vous ! Dit-il en secouant son fils.

- Mais il est encore tôt, le soleil ne ce n'est pas levé encore ! Grogna-t-il

- Je le sais bien, mais vous avez un long voyage, aller dépêche-toi ta sœur et déjà debout.

-Oui oui !

Le père descendit pour retrouver sa fille déjà prête pour le départ.

- Je suis prête. Sourie-t-elle toute contente de ce tout premier voyage quelle aller faire avec son petit frère

-Je vois ça, mais tu dois attendre ton frère, il vient juste de ce lever.

Jean descendit toujours endormi en se frottant les yeux, Anna le regarda puis prit le panier qui se trouvait sur la table pour l'accrocher sur le cheval. Anna était habillée de sa robe et d'une cape pour se couvrir du froid et Jean d'un pantalon, d'une chemise lui aussi couvert de sa cape.

- Jean va surveiller le cheval. Ordonna son père

- D'accord, répondit celui-ci

-Anna ?

- Oui ?

- Prends ça, vous en aurez besoin !

- Un poignard !? Pourquoi ? Questionne-t-elle

- Pour vous protéger des bandits.

- Il n'y a pas de bandit, rigola-t-elle.

- Si, Le danger est partout, Anna, tout peut arriver, son rire cessa à ses mots, et le regardât dans les yeux.

- Pendant ce petit voyage, je veux que tu surveilles bien ton frère, compris ? Dit-il en la prenant pas les épaules.

-Oui père ! Je vous le promets.

- Revenez nous vite à la maison ! Dit-il en souriant.

- Compris ! Sourie-t-elle en retour. Vous remercierez Mère de ma part pour ce panier.

Le père acquiesça et observa ses enfants monter à Cheval et partir pour la capitale.

- Soyez prudent en chemin! Cria-t-il en faisant signe d'un au revoir.

- Je vous le promets cria a-t-elle en retour lui envoyant un baiser pour signifier son amour envers lui.

Jean est à l'avant dormant, Anna le regarde et se demande comment il peut dormir une seconde fois. Longtemps après la famine était présente pour Jean qui a dit à sa sœur, alors ils ont décidé de faire une pause dans une clairière. Jean descendit du cheval tout exciter de manger ce que leur mère avait préparé, le panier contenait du pain, deux pommes de terre du jardin qu'ils devaient cuire pour pouvoir manger et une gourde pour boire.

Sans qu'Anna ait eu le temps de dire un mot, Jean courut chercher du bois pour le feu, pendant ce temps  elle attacha le cheval pour qu'il ne puisse pas s'enfuir. Jean revint peu après avec des branches de bois pour allumer le feu, pendant ce temps Anna installait sous un arbre en regardait le paysage que la nature lui offrait, l'air frais dans ses cheveux lui fit le plus grand bien, son frère l'appela pour l'avertir qu'il avait pu allumer le feu. Sans perdre de temps, ils reprirent leur chemin initial, Anna se dit qu'ils n'arriveraient que demain après midi, alors pour faire passer le temps, ils se racontaient des histoires tous farfelus les unes que les autres.

 Anna décida de s'arrêter pour passer la nuit sous un arbre, elle demanda à son frère de faire du feu sachant qu'il était très talentueux pour ce genre de chose. Anna savait qu'elle prenait des risques, mais elle n'avait pas le choix, trop épuisée pour poursuivre le chemin qui les mènes à la capitale. Elle sortit la petite couverture pour les protéger du froid et essaya tant bien que mal de s'endormir.

Jean et Anna se firent réveiller par les oiseaux qui gazouillaient dès le matin, alors ils décidèrent de reprendre leur chemin. La nuit n'a pas été facile pour tous les deux à cause du vent glacial de la nuit qui frappait leur visage, les bruits d'animaux qui ne rassuraient pas Anna par peur de se faire attaquer par un loup, elle croit même avoir entendu le bruit d'un hibou. Son frère l'informe d'entendre des bruits d'eau et celle-ci tendit ses oreilles pour entendre elle aussi.

- allons nettoyer nos visages et faire boire de l'eau au cheval, dit elle

Son frère hocha la tête et emboîta le pas.

-Ne perdons pas de temps, dit-elle alors qu'elle grimpait sur le cheval. Car la porte de la capitale n'était pas très loin et Jean demanda à sa sœur de galoper plus vite.

La fratrie était arrivée un moment déjà à la capitale, ils avaient laissé le cheval devant une écurie. Le marché était bondé de monde, de peur de perdre son frère elle lui demanda de tenir fermement la main, tous les deux étaient impressionnés par la grandeur du marcher. Les marchands qui criaient, les habitants qui demandaient les prix, les couleurs, les objets tout étaient incroyables.

- Eh ! ma jolie ! crié un homme sur la droite, Anna se retourna, Oui vous! regarde ne veux tu pas ce magnifique bracelet .

- il est vrai qu'il est beau mais...

- Achetez-le! Il coûte seulement trois lyres. dit le marchand, avec enthousiasme.

- Pardonnez-moi, mais c'est vraiment trop pour moi.

-Tu ne trouveras pas mieux ailleurs, ma chère.

- non merci !

Dès heure était déjà passé et ils n'avaient toujours  pas trouvé de tissu, c'est heure à marcher les avait beaucoup fatigué, Jean réclamé à manger alors Anna décida d'acheter chez un marchand quelque chose qui pourrait couper leurs faims, alors elle demandât à Jean de ne surtout pas s'éloigner d'elle

Après avoir fini son achat, elle remarqua que Jean ne l'avait pas écouté, il n'était plus là, prise de panique elle regarda les alentours, mais rien sa peur se fit plus grande. Elle commença alors à crier son nom mais rien, elle commença à courir en regardant les alentours sans faire attention aux gens qu'elle bouscule, les minutes lui paraissent longues.

-JEAN ! cria telle

-Anna ! crie-t-on, Anna comprit que c'était son frère elle le remarque assise sur le bord d'une fontaine en train de carrares un chat soulager de l'avoir trouvé elle courut immédiatement vers lui avec un visage qui affichait de la colère

-Jean mais qu'est-ce qui t'a pris de partir comme ça alors que je te l'avais strictement interdit, sais tu à qu'elle point j'ai eu peur pour toi ?! dit elle en l'agrippant par le bras

- Pardonne-moi Anna j'avais vu ce chat et je me suis approché pour le caresser mais quand je me suis retourné je ne te trouvais plus dit-il en sanglotant

- c'est la dernière fois que sa arrive compris !

-oui... dit-il en s'essuyant les larmes.

- Aller tiens prend ça sourie-t-elle en lui tendant ce qu'elle avait acheté pour manger. Après cela nous irons chercher une auberge d'accord..

L'inconnu-du-Monde


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⏰ Dernière mise à jour : Mar 25, 2023 ⏰

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