Non, je ne l'aime plus. Pendant une période, j'aurais fait n'importe quoi pour lui, j'aurais fini sous les roues d'une voiture si ça avait pu l'aider, le sauver ou juste lui plaire. Aujourd'hui, je suis guérie. Je le regarde avec distance, je suis plus raisonnable, je pense que j'ai grandi. Mais il reste toujours une empreinte, une cicatrice de se que j'ai ressenti, jamais je ne pourrais l'oublier.