Encore Un Faux Sourire [Terminé]

~18~ {Bonus 1}

I'm already back guys ! Alors, juste, préparer les mouchoirs, car c'est le début de la backstorie de Denki et c'est pas joyeux joyeux.... Donc bah... Bonne mort des yeux...

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Pdv Denki, en 4ème

Je range mes affaires dans mon sac avec vitesse, ne voulant me faire attraper par Benjamin à la sortie.

Prof "Une minute Kaminari, venez me voir avant de partir. "

Oh non... Putain s'il vous plaît me retenez pas trop longtemps ou il va me tabasser encore..

Moi "Oui Monsieur ? " Je demande en tentant de contrôler la peur et le stress dans ma voix

Prof "J'ai remarqué que vos notes ont commencé à baisser, et ce, dans plusieurs matières, et étant donné votre excellente moyenne, cela est plutôt inquiétant. De plus des camarades ont remarqué d'étranges marques sur votre corps. " Fit le prof d'anglais d'un ton inquiet.

Moi "Oh non Monsieur ne vous en faite pas, j'ai juste du mal à dormir à cause de ma petite sœur, elle fait souvent des crises le soir au moment d'aller se coucher. Quand aux marques, c'est juste que je suis vraiment maladroit à cause de ce manque de sommeil, et je tombe beaucoup. " Je réponds en souriant.

Après plusieurs autres questions, mon prof principal me laissa enfin partir.

Je traverse rapidement le bahut et passe le portail avec appréhension.

Je sens soudain une main agripper mon bras, et j'atterris dans les bras de Benjamin.

B. B. "Tu m'as manqué. Si je ne te connaissais pas aussi bien, j'aurai juré que tu faisais exprès de m'éviter aujourd'hui, bébé. " Fit il d'un ton menaçant.

Je tente de partir de son étreinte, pour qu'au final il serre ses bras un peu plus contre moi.

Moi "Benjamin, je te l'ai déjà dis, on est pas en couple, donc fou moi la paix ! " Je dis, fatigué.

Erreur. Grave erreur de ma part.

Il me lâcha d'un seul coup et me repris le bras.

Son alter est le magnétisme. Quand il touche quelque chose ou quelqu'un et qu'il active son pouvoir, la personne ou l'objet reste coller à lui et pas moyens de se décrocher de lui à moins qu'il ne le veuille.

Comment dire que là maintenant tout de suite je suis condamné à le suivre.

La magie de la fanfic nous transporte 2 heures plus tard, car je n'ai toujours pas ressuscité mon ellipse.

Je suis assis sur la plage, attendant ma sœur, avec une lèvre éclatée, une épaule déboîté, des bleus dans le dos et une douleur insupportable dans le bassin.

Je sais même pas comment j'ai fait pour atteindre la plage.

Aoi "Eh ptit frère ça va ? " Dit ma sœur, qui arrive en courant vers moi.

J'entends de l'inquiétude dans sa voix.

Je secoue ma tête.

Moi "Tu peux m'aider ? Je ne peux pas marcher. " Je fis d'une voix sans émotion, vide.

Son alter c'est "Lévitation". Pas besoin de vous expliquer.

Elle s'approcha de moi, une mine inquiète sur le visage.

Aoi "Il t'as fait quoi cette fois ? " Fit-elle, énervée et soucieuse à la fois.

Moi "Je ne peux pas marcher. Sinon j'ai  mal. " Je dis à nouveau.

Les yeux de ma sœur s'arrondirent sous le coup de l'horreur.

Aoi "Denki ! Il t'as violé ? " Fit elle, tout tact envolé à cause du choc de cette info.

J'hoche la tête. Je ne sens plus rien à part la douleur. Je suis vide.

Aoi "Il va falloir que tu en parle, bebou. Il a dépassé les bornes. Il faut que ce malade se casse en taule ! "

J'eu un rire sans joie.

Moi "Bien sur."Comment ? Vous vous êtes fait violer, vous êtes sûr ? Vous êtes pourtant un homme. Vous ne l'avez pas un peu voulu ? " On ne me croirait pas. " Je conclut d'une voix éteinte.

Elle s'agenouilla devant moi et me pris dans ces bras. Elle pleure.

On resta ainsi pendant environ dix minutes.

Puis elle se leva et activa son alter sur moi pour m'emmener dans sa voiture.

20 minutes après, dans la chambre de Denki...

J'ai fermé le porte à clé. Et j'ai mis mes écouteurs.

🎶She knows what I think about, and what are you think about? One love, two mouth, one love, on house...* 🎶

La playlist défile. Jusqu'au Nightcore d'une chanson d'Ornela Tempesta, "Ta meilleure amie".

J'ouvre les yeux, et comme dans la chanson regarde mon avant-bras.

Où je vois les traces rouges, dû à l'alter de Benjamin... Ces marques me donne envie de vomir. Et de mourir, même si j'ai peur de la mort.

Je me lève et prends un de mes tailles-crayons.

Je le casse, et je fais la même chose que la fille dans la musique.

Pour la première fois en 1 an, je me sentais apaiser.

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* Sweater Weather