Aime moi si tu peux.. [La Meute d'Élvéa] T1

Corps & Âmes

Point de vue de Aïden

La première fois que j'avais crus entendre mon prénom de sa bouche j'avais bien crus que ma frénésie était tellement forte que je rêver désespérément qu'elle soit encore là.

Puis quand j'avais tourner la tête et que je l'ai vue vraiment là debout entrain de courir dans ma direction puis s'interposer entre moi et ma proie je crus rêver

C'était bien elle ..

Elle était donc toujours là elle n'avait pas encore quitter Élvéa , mais pourquoi ?
Peut-être avait-elle oublier quelque chose au manoir ?

Peu importe le plus important et qu'elle était maintenant là et en face de moi !

J'étais heureux qu'elle se trouve là mais j'avais également très peur était-elle folle pour venir comme ça en face de moi durant ma frénésie !

Je pouvais la blesser gravement voir même lui faire du mal sans réussir à me contrôler.

Mes frénésies étaient incontrôlables et je n'avais jamais réussi à trouver la force suffisante pour les arrêter c'était une sensation bien trop forte contre laquelle je ne pouvais lutter .

Puis lorsqu'elle a commencer à parler avec Arès je l'ai sentis se calmer comme si le simple son de sa voix était le remède à sa folie meurtrière..

Et lorsqu'elle c'était coller à lui en glissant sa main dans le pelage et avait promis de ne pas nous quitter Arès avait littéralement abandonner l'idée de tout réduire en cendres et ma fureur à moi avait également disparu..

Voilà maintenant qu'elle réclamait à mon loup de me laisser reprendre ma place , ce qui était plus sûr c'est vrai ..

Des processus de transformations j'en avait eu des milliers à force ça n'était plus douloureux en revanche celle là était une grande première pour moi .

Car je venais tout juste de retrouver l'apparence humaine et elle était toujours là coller contre moi .

Pour la première fois je crus défaillir tant la sensation de l'avoir contre mon corps était troublante , j'aurais pu la garder des heures comme ça tout contre moi à pouvoir humer son odeur qui me rendait fou autant qu'il m'apaisait..

Là tout contre moi j'avais raffermis ma prise sur elle lorsque j'avais sentis son corps se détacher un peu trop du mien.

Fermement coller à moi son corps contre le mien j'avais le sentiment pour la première fois de ma vie que nos deux cœurs batter à l'unisson d'une seule et même pulsation..

Incroyable..

Je n'avais jamais ressenti ça de ma vie et je ne pensais jamais pouvoir ressentir quoi que ce soit de ce genre !

C'est comme si aujourd'hui je revoyais le monde sous de nouveaux aspects sous de nouvelles couleurs comme un nouveau tableau qui se dessiner dont elle en était le peintre..

Elle l'avait dit ! oui je n'avais pas rêver elle l'avait bien dit et c'est d'ailleurs ça qui m'avait empêché de tuer mon garde .

Il fallait que je l'entende à nouveau
NON j'avais besoin de l'entendre !

Comme si ça m'étais vital et que si je ne l'entendais pas à nouveau j'en mourrais il fallait que j'entende à nouveau ce qui avait était le déclencheur de ma paix dans cette folie

Et d'une voix plus désespérée que je ne le voulais laisser paraître je lui demanda de le redire

Ce qui ressemblait plus à une supplication qu'une demande soit dit en passant ..