#2ParodieHarryPotter (Livre 4 Chapitre 1)

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Il était 22h35 et la nuit était tombée quand un homme rentra dans le petit village. Il pleuvait, nous pouvions même entendre l'orage grondait au loin. L'homme avançait vers la plus grande maison du village, sur une colline derrière la maison du maire. Cette grande maison, ou plutôt manoir, appartenait à la famille Chassecot. Il y a quelques années de celà, les Chassecot étaient morts, sans que personne ne sache comment. Tous les détectives du pays sont venus. Pas la moindre trace de balle sur leurs corps, pas la moindre trace de couteau, ni aucune porte forcée. Ils étaient tous là, étalé sur le sol, le regard lointain. Les seuls déductions un peu trop hâtives sont qu'ils sont tous mort d'une crise cardiaque. Ce qui n'expliquent pas pourquoi la porte était ouverte et que les Chassecot affichaient une image de terreur sur leur visage. Ils avaient été enterrés dans le cimetière depuis cette terrible nuit que personne ne comprenait. La maison, laissée à l'abandon, n'appartient plus à personne. Seul le jardinier y était resté, ce pauvre M. Palperbe. Il avait été le premier suspect de la police, le seul à avoir les clefs de la maison. La police l'avait arrêté, interrogé puis relâché pour manque de preuve, mais tout le reste du village pensait que la police aurait dû le garder. M. Palperbe n'a jamais été beaucoup aimé du village. Il faisait peur aux enfants avec sa jambe de bois et toutes ses cicatrices. L'homme en noir se raprocha faiblement, a petite enjamber. Il n' était sans doute pas très en forme. Il était suivi de très près par une petite forme humaine, qui, de loin, pourrait se confondre avec un rat. Les deux personnes rentrâmes dans la maison, allumèrent un feu à la vitesse de la lumière. M. Palperbe vue le feu s'accroître dans la maison où il était jardinier, où plus personnes n'habitaient dedans. Il pensa d'abord à appeler la police mais, comme elle ne lui avait jamais fait confiance, il se résigna à aller lui-même voir ce qui se passait. Il se leva de son lit, prit sa canne et les clefs du manoir accrochées au mur et sortit. Lentement et doucement, il avança vers la porte de la cuisine, pris les clefs, ouvrit la porte et rentra. Il était trempé car, dehors, il pleuvait encore des cordes. Il avait choisi la cuisine car c'était un endroit discret, que peu de personnes connaissent l'existence. Il sortit de la cuisine et avança vers le couloir. Il entendit des voix, des murmures. Il se rapprocha de la pièce d'où sortait les sons. Quand il se trouva plus qu'à quelque mètre de la pièce, qui se trouva être le salon principal, il entendit clairement les voix. L'une, faible et sombre, prévoyait un plan, un meurtre. L'autre, faible et soumise, ne faisait que répéter "maître…". Il se pouvait que l'un soit puissant, qui se présente comme le maître. Et l'autre le serviteur, inpuissant, faible, pitoyable. M. Palperbe réfléchit. Que pouvait il faire pour empéchez ce meurtre ? D'après ce qu'il avait entendu, ils voulaient tuer un enfant de 14 ans qui se nommait Jack Potdefleur… M. Palperbe n'a jamais aimé les enfants. D'un car il cassait les vitres du manoir, l'empêchait de tondre la pelouse, essayait sans cesse de rentrer dans la maison des Chassecot et utilisait le jardin, qu'il entretenait si bien, comme un terrain de jeu. De deux car, quand ils faisaient une bêtise, ils allaient voir leurs parents, en pleure, et leurs disaient que c'est M. Palperbe qui les embête. Alors que, entre nous, c'est plutôt l'inverse. M. Palperbe hésita un court moment à rentrer chez lui, à appeler la police et à les laisser faire pendant qu'il finissait sa nuit. Après tout, il était un vieil homme, tout rouillé, pas de taille à affronter un tueur. Mais M. Palperbe, pris de pitié pour ce jeune homme, renonça à sa nuit de repos et resta. Il écouta, écouta et écouta. Quand il en sut assez, il commença à revenir sur ses pas, à rentrer chez lui. Mais, malheureusement, il marcha sur une planche de bois qui craqua. Le maître dit à son serviteur :
"-Tue le."
M. Palperbre pris sa canne a deux main et dis 
"Att… attention ! Je suis armée !"
Le maître éclata de rire et dit d'une voix lourde et forte 
"Tu mens."
Puis tout se passa à la vitesse de la lumière. Le serviteur sortit, cria quelque chose et M. Palperbre tomba, nette, au sol, mort. 

Le lendemain les autorités, alertées par les gens du village qui, la nuit, avaient entendu des bruits du côté du manoir, trouvèrent le corp de M. Palperbe. Il était comme le corps des Chassecot. Aucune trace de meurtre, mais que faisait t'il dans la maison ? Les villageois disaient tous qu' ils n'avaient jamais cru une seule fois que M. Palperbe était le tueur des Chassecot et que, pour être dans la majorité, ils disaient l'inverse. On l'enterra cette nuit-là avec les Chassecot. 

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 08, 2021 ⏰

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