Chapitre 1 :
Nous sommes juste après la création de Konoha. Hashirama, se rendant compte que son frère et son meilleur ami se détestent toujours, il met un plan en place pour les faire se rapprocher.
PDV Madara :
Hashirama vient de me convoquer dans son bureau, je me demande ce que cet abruti me veut encore. Je me dirige tranquillement vers le bureau du Hokage et entre sans toqué. Je trouve un Hashirama sauvage en train de parler a une de s'est plante :
-Alors Bernadette, il va pleuvoir selon toi ?
Il ne m'a pas encore aperçu et continu de parler de météo avec cette « Bernadette ». Alors que j'allais m'annoncer une voix derrière moi retentit :
-Bon Hashirama, tu vas nous dire ce que tu nous veux ou continuer de parler à cette plante ?
Mon ami sursaute et se retourne vers nous un peu gêné d'avoir été pris en flagrant délit. Quand t'a moi, je me fige, je sais qui est derrière moi, cette voix, ce chakra, son odeur. Cette odeur que j'aime tant. Tobirama. Ce type, je l'aime et je le hais à la fois. Non, je le déteste, oui, je le déteste. Avec ses cheveux blancs de papy, ses marques bizarres sur son visage et sa voix sexy. Heu horrible ouais, c'est ce que je voulais dire.
-Et toi, tu vas rester planter là ? Laisse-moi passer !
Il me bouscule, est rentré dans le bureau sans un regard. Après quelques secondes, je le suis et me place à côté de lui face a Hashirama, qui prend enfin la parole :
-Bon, je vous ai convoqué, car j'ai une mission pour vous deux. La mission consiste à me ramener un papier très important du village de Suna.
-Quoi ? Mais pourquoi avec lui ? Il en est hors de question !
-Pour une fois, que je suis d'accord avec toi Uchiha.
En disant cela, il m'a lancé un regard tellement froid qu'il me glaça le sang.
-Bon de toute façon, je ne vous laisse pas le choix, on est en manque d'effectif, vous partez cette après-midi.
Avec le Senju, nous sortons du bureau de mon ami et je rentre chez moi pour préparer mes affaires pour la mission. Je me dirige ensuite vers mon frigo pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent, finalement rien d'intéressant alors je me pose sur le canapé un moment pour patienter. Je ne me rendis même pas compte que Morphée m'attira dans ses bras.PDV Tobirama :
J'attends patiemment l'Uchiha devant les portes du village mais au bout d'une demi-heure j'en ai marre. Je me dirige vers le quartier des Uchiha pour trouver cet abruti. Tous les gens me regardent bizarrement, en même temps, ils n'ont pas l'habitude de me voir ici. Je trouve enfin la maison du retardataire. Je toque, aucune réponse.
-Madara ouvre moi !
Pas le moindre signe de vie. Je rentre et retire mes chaussures. Je m'avance dans le salon qui est étonnamment bien rangé. Les murs sont peints d'une jolie couleur bleue. La pièce est simple mais très agréable. Au milieu du salon, trône un canapé sur lequel Madara est en train de dormir. Je m'accroupis doucement à côté de lui. Et profite qu'il soit endormi pour l'observer, il a l'air si paisible, lui qui paraît exténuer à longueur de journée. Son doux visage m'attire plus qu'il ne le devrait pas, ses traits fins, ses yeux tout aussi dangereux que magnifique et ses lèvres. Oui, je sais, vous vous dites que ce n'est pas normal que je lui fasse autant de compliments alors que je le déteste. Mais en réaliser cela fait quelque temps que je me suis rendu compte que je suis tombé amoureux de Madara. Quand je redirige mon regard vers ses yeux, je les trouve ouvert me regardant avec stupéfaction. Oh, oh, ça ne sent pas bon ça. Il va me prendre pour un psychopathe à l'observer pendant qu'il dort. Bon restons naturel. Je me relève et lui lance :
- Je suis venu te chercher, dépêche toi, on a de la route à faire.
Il ne me répond pas toujours aussi fixe qu'une statu, j'en profite pour m'éclipser.PDV Madara :
Je rêve où il était entrain de regarder mes lèvres pendant que je dormais. Oui, c'est ça, je rêvais, c'est la seule explication plausible. On parle quand même de Tobirama Senju une personne froide qui ne montre jamais, au grand jamais ses émotions. Quand je me remets de cette perturbation, je vais le rejoindre dehors. Nous prenons la route de Suna en marchant. Tout le long du trajet, je lui lançais des petits regards. Mais à chaque fois qu'ils se croisent, je détourne les yeux. Dans ma tête, ça fuse à toute vitesse. Est-ce que je l'aime ? Peut-être que ce n'est qu'une attirance physique ? Je ne peux pas l'aimer. Déjà, c'est un homme, moi, ça ne me dérange pas, mais le village est plus manif pour tous que LGBT+. Et puis c'est Tobirama, nos clans sont ennemi depuis toujours. On se déteste, enfin, je crois, j'espère, je ne suis plus sur de riens. Je crois que je l'aime. Je crois que je suis tombé amoureux de Tobirama.