SÉDUCTION GAME - With Tom Holland

|25| Los Angeles or London ?

( NDA: language un peu plus cru (détaillé) que dans mes autres scene de cul déjà écrite...)

Il est vingt deux heure trente lorsque nous arrivons à notre chambre d'hôtel.

- Je vais prendre une douche, c'était une journée épuisante.

- Attend.

Je me suis rapproché d'elle jusqu'à franchir la frontière invisible entourant son espace personnel. Mes mains sont venue attraper sa taille, et j'ai tendu le cou vers elle. J'ai fixé
sa bouche, mourant d'envie de l'embrasser. Cette tension sexuel en moi je la garde depuis le début de la journée. Ses lèvres se sont légèrement entrouvertes. J'ai glissé la main dans ses cheveux et me suis penché vers elle jusqu'à ce que nos lèvres se touchent. Je l'ai embrassée lentement, en m'efforçant de rester doux. J'aurais pu la dévorer sur place. Elle m'a rendu mon baiser, enroulant un bras autour de mon cou. Elle m'a embrassée plus passionnément, un gémissement de désir s'échappant de ses lèvres. Elle m'a entouré le poignet d'une main tandis que la mienne se noyait dans ses cheveux. C'était elle qui m'embrassait le plus intensément.

Le plus profondément.

Le plus rapidement.

Je n'arrivais plus à contrôler le rythme. Je voulais que ce soit lent et sensuel, mais elle désirait bien plus que ça.

Mes mains ont exploré son corps, senti les courbes appétissantes de sa taille et de son ventre, l'excitation me brûlait de l'intérieur. Mon désir grandissait. Elle a tiré sur le devant de mon tee-shirt et m'a entrainée le lit.

Sa chemise s'est envolée.

Mes chaussures ont valsé dans la pièce.

Son soutif est tombé par terre.

Mon jean s'est baissé.

Un par un, tous nos vêtements ont rejoint la moquette jusqu'à ce que nous soyons nus.
J'ai peloté ses seins et embrassé son cou, son odeur me laissant planer. Je l'ai embrassée passionnément. Ma queue était plus bandée que jamais.
Elle était allongée sur le dos, sous moi, les jambes écartées par son envie. Elle m'a tiré sur elle et a enrouler ses bras autour de mes épaules. Je me suis glissée dans sa chatte, et j'ai gémi en sentant à quel point elle mouillait. Elle était plus trempée que jamais, serrée et brûlante. Je me suis enfoncé entièrement en elle et j'ai regardé son visage s'illuminer de plaisir.

Elle me désirait follement.

Elle a enfoncé une main dans mes cheveux et m'a fixée tandis que je commençais à aller et venir en elle.
Elle me voulait tout entier, autant qu'elle pouvait absorber. Elle m'a tiré les cheveux et m'a embrassé, gémissant entre
chaque respiration.

- Tom...

- Darling ?

Il n'y avait rien de meilleur au monde. Rien ne me rendrait plus heureux que cette femme. Je me suis concentrée sur son plaisir, sur sa façon de bouger ses hanches avec les miennes. Ma queue était enfouie au fond de sa chatte, elle prenant tout ce que je lui
donnais. La sueur luisait sur ses seins, et elle gémissait dans ma bouche. Elle a enfoncé les ongles dans mon dos et m'a attiré en elle de plus en plus loin. La transpiration trempait mon dos, mais la chaleur ne m'a pas ralenti. Je voulais que ça ne s'arrête jamais. Si je
pouvais la baiser en continu, je le ferais.

- Tom, Tommy ... je t'aime.

Elle l'a dit en me regardant dans les yeux, la passion brûlant dans son regard et la promesse illuminant son visage.
Je me suis enfoncé complètement en elle et me suis immobilisé pour la fixer. Elle faisait de
moi l'homme le plus heureux du monde.

- Moi aussi, je t'aime Darling.

Elle a a joui plus vite que d'habitude, comprimant ma queue et plantant les ongles dans mes muscles. Je voulais continuer, mais après sa petite performance, j'aurais du mal à contenir ma passion sans me libérer. J'ai joui peu après elle, remplissant sa chatte de toute la semence qu'elle pouvait absorber.

Je me suis réveillé avec le soleil me réchauffant le visage, hier soir nous avions oublier de fermer les rideaux, nous nous sommes directement endormis après notre plaisir commun. J'aime l'observer dormir, elle est paisible, sa respiration suis la mienne et mon épaule lui sert d'oreiller. Je me décale doucement et me lève du lit pour allez prendre ma douche. Sur mon passage je ferme les rideaux pour la laisser encore dormir.

Pendant ma douche lorsque je rince le savon que j'ai encore sur le corps je sent deux petites mains venir m'entourer la taille et se balader sur mes pecs. Elle pause sa tête encore endormie contre mon dos.

- Rien qu'une bonne douche pour se réveillé... marmonne-t-elle.

Trop de mignonnerie pour moi ce matin, j'ai envie de lui faire plein de choses.

Finalement nous je me suis ravisé et nous n'avons rien fait. On as été finir notre visite dans Paris puis nous sommes rentrée chez ses parents.

- Alors c'était bien Paris ? Nous demande son père.

- C'était Amazing !
- Bah Paris quoi.

- J'avais oublié ton enthousiasme d'allez sur Paris, répond sa mère, elle doit vraiment beaucoup t'aimer pour t'emmener sur Paris. Rigole-t-elle, Nina rougis et râle.

Nous avons mangé avec eux et après mangé son père et moi avions regarder le Grand Prix, j'ai appris que sont père était fan de Formule 1. Ce qui nous fait un point en commun, enfin deux il a aussi une obsession pour les montres, ce me rassure qu'on s'entende bien. Sa mère est aussi très gentille mais on voit qu'elle ne se laisse pas faire.

*

C'est notre dernière soirée ici demain on repart. Nina n'as pas le temps d'aller voir Armelle, elle habite en Alsace aucune chance qu'elle puisse allé la voir alors que l'on repart demain. Ça la fait vraiment chier mais elle se sont dit que pendant les grandes vacances elles aurons tout le temps qu'elles voudrons ensemble. Ça m'embête aussi il un peu pour elles et aussi parce que j'aime bien Armelle c'est une de mes amies elle est très gentille et j'aurais aussi aimé la voir. J'ai vraiment aimé passé du temps en France et chez elle, son frère est sympa et pourrais bien s'entendre avec Paddy, nous sommes allez voir son ancienne école primaire, collège et lycée. Au plus grand malheur de Nina nous sommes retourné sur Paris. Durant le repas sa mère nous pose une question, le sujet que je repousse à aborder depuis qu'on s'est rencontré.

- Et donc sinon les jeunes, vous allez vivez où ? Je sais que Nina tu as ta résidence universitaire mais dans un an tu as finis les cours et ton rêve est de vivre la bas à moins que cela n'est changé ?

- Non, non je préfère vraiment Los Angeles, les États Unis tout court à la France enfaite.

- Mais Tom tu vis à Londres non ?

- Hum, yes.. enfin oui.

- Donc comment vous allez faire ?

- Ecoute Maman, on sais pas trop encore, on a du temps.

- Le temps passe vite, rétorque son père.

Nina soupire.

On as encore cinq mois avant qu'elle finissent les cours, j'ai réalisé mes rêves, pourquoi elle n'aurais pas le droit ? Mais j'aime beaucoup Londres.

Je sent que cette histoire a être compliqué. Mais pour l'instant on rentre, au calme, tout les deux, on se pose.

Et on réfléchit.