Chapitre 6

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Bonjour bonjour,
Bon, je comptais vous ecrire la suite quand j'aurais recupérer un ordinateur, et c'est le cas. Je viens enfin de le recuperer. Donc comme promis un chapitre et vous pouvez vous attendre a un, peut etre meme deux autres avant noel.
Je sais je suis trop bonne.
Parcontre ce chapitre etait dan smes brouillon et na pas été relu.
Vos ames charitables me pardonneront.
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- jure, ca fais deux ans que tu t'es envoyer en l'air?

Haha c'est la triste verité.
Dis donc, je n'aurais jamais penser que ma relation avec quelqu'un deviennent aussi cru en quelques jours.

- Mais t'es pas en manque ? Je pourrais pas moi.

Je baisse la tete en rigolant

- Evidemment, ca me manque. Toutes ces sentations, le contacte.

Mes yeux fixait le vide et les images defilaient dans ma tête.

- ce n'est pas que les occasions ne se sont jamais presenter, j'ai juste pas le temps et puis je suis vachement crevé par le boulot.
Et les rares fois ou je me fais aborder c'est par des gens avec qui je vais etre obliger de travailler. J'ai pas envie que ca deviennent genant.

- Je vois, dit t-il en s'asseyant en face de moi sur le canapé, mais c'est que des excuses ca. T'es la reine ici, si c'est embetant tu vires la personnes de la section, ou meme de l'oxa.
Tu fais absolument ce que tu veux, tu as le pouvoir.
Et tu peux avoir n'importe qui a tes pieds.

Aie, j'aime bien quand il me parle comme ca. Je ne devrais pas. Le problème c'est qu'il est tard et que je suis joueuse et alcoolisé.

Il s'enfonca dans son fauteuil. Et releva son menton de facon a me regarder de haut.

-Meme toi ?

Il passa sa langue sur sa canine droite. Son regards etait pleins sous entendu. Des sous entendus pas professionnel du tout.
D'ordinaire je n'aurais probablement pas renvoyer les memes ondes. 

On se fixait intensément et la situation etait extrement ambigue.

Pas assez pour que l'on atteigne un point de non retour. Trop pour que cela soit percu comme innocent. On etait donc face a deux possibilité.
Soit on arrete nos conneries. 

Mais on en avait pas envie. 

Soit on se dit merde et on profite a fond.
 

Mais là j'ai plus envie de réfléchir, juste de me laisser allez. Ma tête s'inclina sur le coté pendant que mes yeux descendaient le long de son torse.

C'est le signe qu'il attendait pour se lever. Il marcha avec confiance jusqu'à moi. Il attrapa mon cou et se pencha pour m'embrasser.
Je vois le genre.
Gentil en apparance, possessif et dominant au lit.
Grr.
J'adore.

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INTERVENTION INUTILE DE L'AUTEUR:
POUAHAHHAA JSUIS A BOUT VOUS ETES PAS PRES

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Il se recula, attrapa mon visage pour m'embrasser à nouveau.
Il me fit reculer, me retrouvant coincer entre lui et le mur. Il decendit ses baisers dans mon cou, me laissant des marques que je regretterais probablement demain matin.
Mais la, je m'en fous. Je suis juste devorer par mon desir pour lui.

Il enleva mon haut habilement et s'eloigna de quelque centimetre pour voir ce qu'il y avait en dessous.

- j'adore la dentelle noire, dit il
en mordillant le bout de mon oreille.

Il n'avait pas besoin de me le dire, la bosse visibles a travers son pantalon le faisait à sa place.

J'echangeais nos place en le re-poussant contre le mur.

Chacun pour soiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant