Chapitre 2

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Je viens de me réveiller lorsque je me rencontre que je dors sur un sol très dur, je ne me sens plus mal, on dirait que je ne suis plus défoncée et pourquoi je suis dans une cellule !? Un policier faisait la garde en tout cas, il était semis endormis. Soudainement, c'est comme si Sayori s'était téléporté dans ma cellule... ! Pff ! Bah oui, c'est ça ! Comme si elle s'était téléportée de sa cellule à ici. C'est impossible qu'elle ait un pouvoir de téléportation. Y'a que dans les séries, les films, les livres et les Comics que ça existe...

-Salut Jane, dit Sayori

-Salut Sayori, dis-je

-T'es venu pourquoi ? que je lui demande

-Pour rien, répond-elle

Sayori n'avait plus l'air saoul. Elle est assez chiante cette Sayori surtout quand elle n'est pas saoule ou même défoncée ! J'avais envie de débarrer mes menottes et de lui coller mon poing dans la figure. Soudain c'est comme si mes menottes s'étaient détachées, j'en profite donc pour lui coller mon point dans la gueule. Puis s'est comme si elle l'évitait dans les aires et qu'elle avait mal. Je dois t'être encore défoncé ou sois que j'hallucine là!

-Arrête s'te plaît, dit-elle

-Arrêter quoi ? dis-je

-De me faire l'éviter et de me faire mal, on a comme des espèces de pouvoirs, moi la téléportation, Sacha, les quatre éléments, toi, ça doit être la télékinésie ou je ne sais quoi d'autre, dit Sayori

Je me suis calmé et tout s'est arrêté, je trouve ça bizarre. Mais ces quoi ces conneries ?! Des pouvoirs ?! J'aurais des pouvoirs ? OK, y faut clairement que je me calme ! Les vraies questions sont plutôt pourquoi j'ai des pouvoirs et quels sont-ils ?!

-Elle est où Sacha ? dis-je

-En train de passer un coup de fil, me répond-elle

Puis Sayori est partie dans sa cellule. Quelque minute après, un policier ma fait sortir de ma cellule.

-Qu'est-ce que vous faites ? dis-je

-Quelqu'un a payé votre caution, me dit le policier

Ce dernier est venu pour détacher mes menottes puis c'est arrêter perplexe.

-Où sont tes menottes ? me demande-t-il en fronçant un peu les sourcils

-Faut croire qu'elle était trop grande, dis-je

Je voyais Sacha au loin avec un monsieur. Sayori était derrière moi.

-Venez, nous dit Sacha

On l'a donc suivie hors du commissariat de police, elle et son père (je crois). Elle a monté à l'avant d'une auto son père a pris le volant.

-Montez, nous dit Sacha

Puis je me suis dit « je serais qui pour refuser un lift ». La nuit a été longue et je ne pouvais pas vraiment rentrer chez moi comme ça à 23h47. J'ai haussé les épaules et ai décidé de m'asseoir à l'arrière où il restait de la place. Je remarque qu'il commençait à pleuvoir dehors. Sayori s'assoit sur l'autre place libre à côté. J'attache donc la ceinture de sécurité. Sacha jette un coup d'œil à l'arrière.

I Collapsed In Silence Without Being SeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant