Quand L'irréel Devient Réel[Jeff the killer × readers]

Episode Final

[PDV T/p]

Je suis sortie. Sortie de la maison où ma cible n'est pas. Je sais qu'elle n'y ai pas et je vais attendre.

Ça fait une heure que j'attend. Elle est sur le chemin et ouvre la porte sans frapper.

"Tch. Quel salope, pour qui ce prend-t-elle ?" dis-je a vois haute.

Je me rend compte que je n'ai aucune attache sentimentale envers elle, ou du moins elle me laisse indifférente. Je pense aux semaines passer avant avec elle. Je me demande comment j'ai fait pour la supporter et être "amies".

Je m'approche mais je vois Jeff lui parler. J'hurle intérieurement. Comme ose-t-elle parler à MON petit ami ?! Je vais l'étriper cette pute qui croit être à l'abri de tout danger !!

En y repensant je me rend compte que je suis quelqu'un de plutôt violenteet que cette violence a été trop longtemps en moi.

Jeff sort en précipitation de la maison, sûrment pour me chercher, tandis que l'autre connasse reste sur le pas de la porte. 

La journée passe et elle ne sort toujours pas de la maison. Jeff reviens à l'interieur. Le jours laisse place à la nuit et l'échéance de Laughing Jack approche mais je ne sais pas l'heure précise à laquel je dois lui donner un cadavre. Je dois me dêpécher.

Par la fenetre je vois les autres s'inquiéter. Ils sortent au bout de 15 min dans des directions différente. C'est alors que je décide de suivre ma cible.

Je la suis de loin pendant une dizaine de minute. Puis je l'interpelle. Quand j'ai fini de pronnoncé son nom elle se retourne et semble soulager.

" T/p ! Tu es là !

- Oui. Tu me cherchais ? Pourquoi ?

- Tu avait disparu toute la journée et Jeff nous à demander de l'aider à te chercher.

- Le problème c'est que je n'ai pas disparu, je suis partie de mon plein gré.

- Quoi ? Mais pourquoi tu as fait ça ?"

Son regard est rempli d'incompréhension. Je prend un large sourire et sort de ma poche un tournevis de ma poche (c'est tout ce que j'ai pu trouvé).

"Je ne sais plus si tu es au courant pour l'histoire de Jack mais je m'en fous royalement. Mais tu as quand même le droit à une explication. 

- Une explication ? Mais à propos de quoi ?

- Mais sur ta mort voyons. En gros si je veut rester avec mon chou, enfin Jeff, je dois fournir du sang frais. Le seul problème c'est que je sais pas comment Jack me trouvera. Bien on verra ça plus tard !"

Je souris et m'approche doucement d'elle. Elle recule et je commence à m'enerver. Je fronce des sourcils et elle panique.

" Arrete de reculer. Cela pourrais être rapide, ne complique pas les choses.

- T/p je t'en pris. On est amie ! Sa voix tremble.

- Amie ? Amie ?! Tu rigole ou quoi ?! Tu ne sais strictement rien de moi ?!"

J'hurle mes phrases hors de moi. Je fonce sur elle et plante son bras de mon arme. Elle hurle de douleur et je lui cris de fermer sa gueule. 

Je veux en finir vite avec elle. Je retire mon tournevis de son bras, je leve le mien et le plante dans sa poitrine une fois, deux fois, trois fois, enfaite je ne compte plus à partir de quatre. 

C'est une voix masculine que je connais par coeur que me fais lever la tête. Voyant son visage je souris instantanement. Lui par contre il semblait térifier.

"Trop tard mon cher, elle a remplit sa part de marcher. Je jure de vous laisser tranquille. A une prochaine la nouvelle !"

Derrière moi c'était Jack. Il est satisfait de ce que je viens de faire. je me leve et me presipite vers mon chou.

" Jeff ! Je suis comme toi maintenant ! On peut vivre ensemble pour toujours !"

Il ne dit rien. Il ne reagit pas à mon calin non plus. Je le lache et touche sa joue.

" Jeff, ça ne va pas ?"

Il ne répond pas, il prend ma main qui est poser sur sa joue et marche tranquillement dans la forêt. Je le suis et choisi de le suivre sans un mot.

Après une marche de je ne sais combien de temps je vois le bâtiment de l'orphelinat. Je me demande ce qu'on pourrais bien faire ici mais je sais que si je pose une question il ne répondra pas.

On rentre par une fenetre et reconnais ma chambre. Il prend mon sac à dos qui me sert de sac de cours. Il le vide sur mon lit et ne tourne toujours pas son regard vers moi.

" Fais ton sac et prend ce dont tu as besoin.

- Est ce que tu es en colère contre moi ? 

- Il tourne son regad vers moi et me sourit tendrement. Non pas du tout, c'est juste que je suis étonner de la tournure des choses mais jamais je ne pourrais t'en vouloir. "

Il me prend dans ses bras et m'embrasse.

"Alors qu'est ce qu'on fait là ?

- Bah rester ici c'est dangereux alors on partir vivre au manoir."

Sur ces mots je fais mon sac.