One shot (Portgas D Ace)

Une mission ? (1)

Quelque part sur Grand Line, un bateau de pêche amoché flotter sur c'est mer où l'on peut trouver mille et un risque. Mais ce bateau n'était pas tout seul, non. Une jeune femme était allongée sur le minuscule pontons, mais elle aussi n'avait pas fait exception sur son état physique. C'est (longueur) cheveux (couleur) ce retrouver emmêler, des cernes ce trouvé dessiner sous ses yeux fermer, ses lèvres (taille) entre ouverte lui permettant à ses poumons de ce gonflé et dégonflé, ce qui procurait un mouvement de monter et de décante à ça poitrine (peu/assez) formée de façon lentes. C'est vêtement se retrouve dans un état pitoyable, tremper, déchirer, tacher de sang par ça peau où l'on pouvait retrouver de nombreuse entaille sur son corps qui ce trouverait plus musclé que les jeunes femmes de son age. Mais pas seulement ceci, des cicatrices si trouver. Des cicatrices dont on pouvait re-connaitre la nature de la blessure. Des cicatrices faites par une lame, une certaine ouverture comme une chute qui pourrait arriver à un enfant, mais l'on retrouve le plus souvent des cicatrices faites par une brûlure, de gros brûlures. Certaine de ces cicatrices datées d'il y a plusieurs années et d'autres d'environ un mois.  

Mais cette jeune femme, dont nous ne savons pas, n'était pas la seule à naviguer sur les mers de Grand Line. Au loin, un bateau imposant naviguait aussi. Les membres de l'équipage qui ont trouvé en observation on remarqué ce rafiot ou ce trouve l'inconnu, ils ont tout de suite prévenu l'équipage et leur capitaine. L'ordre du capitaine était de voir ce qui ce trouvé sur ce bateau de pêche, peut-être qu'il aurait des rations qui pourraient agrandir la réserve de nourriture et de boissons, ou même des outils qui pourraient faire plaisir aux charpentier. Le capitaine était curieux de voir ce qu'il pouvait trouver sur ce petit bateau.

Une fois à côté de ce bateau de pêche, tous étaient transportés d'y trouver une jeune femme qui devait même pas avoir vingt ans. Mais l'étonnement venait plus sur l'état ou ils ont été confiés à la femme, pour eux, ils ne pouvaient pas laisser cette femme dans cet état avec un bateau aussi pitoyable.

-Que fessons nous père ? demanda l'un des matelots.
-Elle est inconsciente. dit un autre.
-On ne peut pas laisser dans cet état ?
-Surtout qu'il s'agit d'une jeune femme. dit fils compagnon. 
-Et qu'elle est vraiment salement amochée.

Le fameux père réfléchissait a ce qui pouvait bien faire. Aider cette jeune inconnue qu'ils ont croiser comme de par hasard sur les mer de Grand Line, ou bien récupérait tous ses bien et la laisser sur cette embarcation délabrer et la laisser pour morte, par rapport a son état physique ou bien dévorer par une monstre marin. Son choix étais fait. 

-Emmener la dans l'infirmerie, nous verrons ce que l'ont fera d'elle plus tard.
-Bien père.

~

Je suis en train de me réveiller d'un lourd sommeil, je suis tellement fatiguer. Les yeux encore fermer, je pouvait sentir que je ne me trouver plus sur le pont de mon bateau. Je me trouver allonger sur quelque chose de plus confortable, de plus doux, je mis sentais bien. C'est comme ça que ce passe la mort. Le paradis ? Les enfers ? Dans le quel des deux où puis-je bien mis trouver ? Une vive douleur me traverse le corps, ce qui me déplus. Mon corps, réagissent inconsciemment à la douleur, mon visage ce crispe, je serre mes dents, un siflement ce forme lors de mon inspiration avec mes dents toujours serait, puis un gémissement de douleur sortie de mes corde vocale. Bon bah je crois que je belle et bien toujours en vie. mais je suis où alors si je ne me trouve pas sur le pont de mon embarcation ?

Je décide donc de me forcé à ouvrir mes yeux. La première chose que j'ai vue étais un plafond, un plafond en bois. Il étais d'un hauteur assez imposante. J'avais bien raison, je ne suis pas sur mon bateau. Je décide de mis analyser la pièce où je me trouve. L'endroit où je me trouvais allonger était un lit simple, un drap blanc me couvrait le corps, seul ma tète et mes bras sortais de ce drap. Toute la pièce où je me trouve on les murs faite de bois, des armoires, dont les portes sont vitrer, on pouvait voir une multitude de flacon ou ce trouver plusieurs sorte de cacher, on y trouver aussi plusieurs outils de médecine. Mais la chose qui ma mis le plus sur la touche, étais étais qu'un cathéter ce trouver planter dans l'intérieure de mon plis de mon coude. Ce cathéter étais accrocher un tube directement relier à un poche remplie d'un liquide dont je ne connait pas l'identité. Je me trouve dans l'infirmerie de je ne sais où. Je dois tout de suite partir ! Je m'enlève sans aucune hésitation mon cathéter et sort de ce drap. Je remarque qu'une énorme bande m'entoure la poitrine, ainsi que le ventre. Je me trouve aussi en culotte, les jambes qui ce trouve avec plusieurs pansements. Je cherche partout autour de moi ou peut bien ce trouver mes vêtement. Sur un commode prêt du lit où je me trouver ce trouve les vêtements que je portait, mes chaussures, ainsi que mon sac à dot.
J'enlève les draps qui recouvre mon corps , ainsi que le cathéter et je me jetai sur mes vêtements. Je mis très vite mon pantalon marron ainsi que mes bottines noires. J'avais trop mal au buste pour mettre mon débardeur et puis il est tout déchiré et imbibé de sang pour être porté. Ma veste en jean suffira de toute manière je dois vite partir. Je ne sais pas où je suis. Il ne vaut mieux pas que je prenne de risque. Je vérifie vite fait si j'ai tout ce qu'il faut. Très bien, je me barre maintenant. En ouvrant la porte, je me retrouve dans un énorme couloir. Merde le bateau doit être énorme, ils doivent être beaucoup sur le navire. Je doit être encore plus vigilante. En trottinant dans le grand couloir, je réfléchis à comment je peux m'en sortir senne et sauve. Plus j'avançais vers la porte qui ce trouver au bout, plus j'entendais du bruit. Des voix plus précisément. Merde tout le monde devait être derrière, sûrement le pont. Merde, merde, merde. MERDE ! Je devrais regarder derrière l'une des portes, si la fenêtre et assez grande je pourrais sortir. Merde, y'a rien. Y'a juste des grandes pièces avec plusieurs hamac. Les quelques pièces que j'ai regardé sont tousses comme ça. Merde je suis obligé de passer par le pont. Bon ok, si il ne me connaisse pas j'ai une chance de m'en sortir. Je pris la poignée dans ma main et l'abbesse. En observant ce qui ce trouvé derrière la porte, je vois le fameux pont au quel je pensais. Mais il est bien plus gros que je pensais, bien plus gros. Il est même gigantesque ! Et les personnes que j'entendais, il en a des centaines. Même des milliers d'hommes. Merde sur quel bateau je suis tombé ! Tous se sont retourné là où je me trouvais. Je ne sais pas quoi faire ils sont plus que ce que je pensais.