Chap.2: La révélation

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Arrivée dans la chambre du nouveau pour faire le ménage, Calypso raconta tout ce qui c'était passé à ses amies. Une fois son récit raconter, elle fut assailli de questions. Après avoir répondu à chacune d'entre elles, Diana lui rappela qu'elle avait quelque chose à leur dire. Calypso se rappellant de ses dires leur dit :

- Enfaîte j'ai fait une sorte de rêve étrange. Je vous explique...

Flash Black du rêve :

J'étais bébé et j'ai vu ma mère et mon père on était dans une grande pièce, elle avait un immense dôme en cristal qui reflèté la lumière du soleil et qui projetait une multitude de couleurs sur le sol qui étaient en marbre blanc. Au centre de l'immense pièce se trouvait deux trône, touts deux en cristal. C'était éblouissant et magnifique. Mais l'atmosphère de la pièce contrastait avec la beauté du décor. La tension était palpable. Ma mère me tenait dans ces bras, elle me chuchotait des paroles rassurantes. Mon père se trouvait devant nous il regardait une personne devant lui, il était grand, avait les cheveux gris cendre qui se marié parfaitement avec ses yeux d'un noir profond. Cet homme avait le regard froid et dur. Il nous regardait avec une haine profonde ce qui accentuait la noirceur de son regard. Il parlait avec mon père, où plutôt hurlait sur lui. Il en vient vite à la violence et engagea un combat sans merci contre mon géniteur. Ceux ci était de force égale. Leurs pouvoirs était démesurée. Bientôt mon paternel dit d'une voix essoufflé à ma génitrice de m'emmener pour pouvoir déployer la totalité de ses pouvoirs. Ma mère s'exécuta et créa un portail vers une autre dimension. C'était celle de la terre. Le portail était d'un blanc éblouissant. Elle entra dedans. Elle se dirigea vers un grand et belle édifice. C'était un horphelina réputé de Paris. La belle femme me déposa sur les marches de l'orphelinat, et la suite vous la connaissez...

Fin du Flash Black

Les filles regardait leur ami d'un air aruit. Aria dit d'une voix ésitante :

-Tu est sûr que ce n'était pas un simple rêve?

- Non. C'était la réalité.

- Comment peut tu en être aussi sûr? Dit timidement Diana.

- J_je l'ai ressenti c'est tout. C'était comme si je m'étais imercer dans un de mes souvenirs les plus enfouit de ma mémoire. C'était bizarre.

Sûr ces derniers mots les jeunes filles regagnèrent chaque une leurs chambres.

En entrant dans sa chambre notre jeune héroïne posa ses yeux sur une lettre. Elle était jauni part le temps et avait un très beau sceaux de sire d'or. En se rapprochant elle le détailla. Au centre de celui-ci elle remarqua un soleil et sur celui- ci se trouvait un croissant de lune. Autour des deux astre se trouvait un magnifique arrangement floral. Elle pris l'enveloppe et enleva le sceau en faisant attention à ne pas le briser. Elle en sortit une lettre et elle lue:

Ma chère enfant je suis tellement désolé de t'avoir laissé dans cet orphelinat. J'espère qu'un jour tu me pardonnera. Si je t'écris cette lettre c'est pour te raconter la vérité, toute la vérité alors assoit toi et lie.
Tout d'abord nous sommes originaire d'un monde parallèle et notre planète se nomme Aurora. C'est une terre plaine de mystères et de magie. En effet, d'ailleurs je suis à moitié elfe et à moitié fée. Quand à ton père c'est un métamorphe. Avec ton père nous possédons différents dons comme, par exemple les sens développé, la maîtrise des éléments où encore la faculté à ce métamorphosé. Tu a héritait de tous nos pouvoirs. Je ne peux pas tous te les listé car il y en a beaucoup. Tu les découvrira au fil du temps, je te laisse la surprise. Pour que tu comprenne mieux la suite je vais te raconter l'histoire de l'empire de Fantalia.
Tout à commencé il y à plus de mille ans quand trois grands empires ce sont déclarés la guerre. L'empire de Fééria, l'empire d'Elfaria et l'empire de Métamorphol. Au bout d'environ neuf cent ans, l'empire de Fééria et d'Elfaria ont fait une alience par le biais du mariage de mes parents. Après quelques temps pour obtenir une paix durable mes parents mon promise au prince impériale Georges de Métamorphol, ton père. Par cette alliance à été créée l'empire de Fantalia qui regroupe aujourd'hui les empire de Fééria, Elfaria et Métamorphol. Peut après la naissance de notre enfant, la princesse impériale et l'héritière de l'empire de Fantalia, en l'occurrence toi, la main de l'empereur a déclaré un coup d'état. Ton père c'est batu pour pouvoir nous faire gagner du temps.
A l'heure où tu vois cette lettre nous sommes surement mort ou prisonniers de cet crapule de main. C'est pour ça que je te demande de nous aider, bas toi pour ton peuple, bas toi pour tes proches, car il s'en prendra à eux s'en la moindre hésitation, et enfin bas toi pour ta vie, car il te tura s'en le moindre scrupules pour assouvir ses sombre dessins !!!
Tu ne pourras pas gagné cette guerre seul, c'est pour cela que je te lègue ces neuf relique, c'est les plus puissantes et les plus anciennes du peuple des fées. Donne en une à neuf personne de confiance, elle leur donnera un pouvoir pour t'aider dans ta quête. Mais surtout tu ne devras pas en donner plus d'une sinon la personne moura au bout de dix minutes à cause d'un surplus de magie
S'il te plaît mon rayon de soleil sauve ton peuple. Vie, soit heureuse, je te garderai toujours dans mon cœur, je t'aime tellement, j'espère qu'un jour nous nous reverrons et que je verrai la magnifique jeune fille que tu est devenu. Soit forte mon cœur n'abandonne jamais car tu est l'espoir d' Aurora, tu est sa lumière qui la guide, son soleil et sa lune à la fois. Je t'aime mon étoile.

Ta mère Aliana Fantalia.

Encore sous le choc Calypso reposa lentement la lettre sur sa table de chevet, et resta silencieuse pendant plus d'une heure. C'est quand quelqu'un toqua à la porte de sa chambre qu'elle réagit enfin. Elle répondit:

- Ah eu... Entré.

La porte s'ouvrit pour laisser apparaître Aria. Elle regarda son ami qui avait le visage un peu pâle et dit:

- Calypso on dois descendre pour accueillir le nouveau, tu viens?

- Oui j'arrive. Dit celle-ci la voix un peu tremblante.

- Tu vas bien?

- Oui ne t'inquiètes pas.

- Tu est sûr ?

- Oui oui, bon tu viens si l'on ne se dépêche pas madame Tumaksu va nous tuée.

- D'accord. Dit celle-ci d'un ton suspicieux.

Et elles descendirent aux rez-de-chaussée.

1103 mots
Désolée pour le temps de sortie du 2 ème chapitre et désolée pour les fautes d'orthographe.

✨Un Destin Magique✨Où les histoires vivent. Découvrez maintenant