J'étais assise dans une pièce délabré qui ressemblait à une loge d'artiste de cirque, bingo, ce clown, qui m'a toujours effrayé se regarde dans un miroir en arrangeant son maquillage, la mort est assise derrière lui, elle le contemple.
Clown : Ce soir je vais les faire rire, pas vrai? Il sourit.
La faucheuse : Qui donc? Il n'y a plus personne.
Clown : Quoi?
Dit-il se tournant vers la mort.
La faucheuse : Tu les as tous tués tu ne te souviens pas? Un par un...
Dit-elle, esquissant un léger sourire.
Clown : Menteuse! Tu mens! Il balaye d'un coup tout ce qui se trouve sur la coiffeuse.
La faucheuse : Oh, regarde, tu as oublier quelqu'un? Tu ne veux me décevoir? Dit-elle en me fixant
.
Le clown me regarda.
Clown : Non je ne veux pas!
La faucheuse : Alors tue la!
Le clown courra vers moi, je me leva et sortie, je ferma la porte, la bloqua à l'aide d'une chaise et me retourna pour observer ce paysage. J'étais dans une fête foraine, abandonné.
Le clown frappait sur la porte, je courrais aussi vite que je le pouvais, je n'avais nul part ou aller,je regarda autour de moi et Je vis cette grande roue au loin, je m'avança vers elle et essaya de la démarrer, en vain, désespéré et en colère je donna un coup sur le boîtier de commande,une secousse se fit sentir et la roue se mis à tourner, je monta dans un des siège et monta jusqu'en haut regardant le clown en bas, essayant de m'atteindre tant bien que mal.
Je ferma fort les yeux priant de rentre chez moi. Quand je les réouvris j'étais en sueur, essoufflée et effrayée mais en vie, en vie, dans ma chambre c'était ce qui comptais.
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surviving
Randomtic tac, tic tac fait l'horloge du monde, et pourtant le temps n'existe pas. prisonnière de mes pires cauchemars, chaque nuit le temps s'arrête et je dois sortir vivante de mon cauchemar, ou j'y reste détenue, jusqu'à la fin.
