Airplane (Taekook)

3 🍌🍒🍑🍆

「Pdv Kim Taehyung 」

— Ça remonte à quand la dernière fois que tu te l'ai prise ?

— Ta gueule Jeon.

Dans les toilettes de l'avion, je défaits la ceinture de Jeon avec hâte. Je ne sais même plus à quel moment est-ce qu'il est rentré dans la cabine. Son pantalon tombe en même temps que son caleçon et je m'empresse de le prendre en bouche. De longs filets de bave s'étale le long de sa verge suite au passage de ma langue. Il peut faire le mâle s'il veut mais je le fais facilement craquer avec ma langue, il n'y a cas l'entendre gémir quand j'insiste sur la fente de son gland. Je souris.

C'est moi le dominant. Le crétin qui vous dira le contraire n'est qu'un bouffon sans neurones.

Je râle quand Jeon tire sur mes cheveux pour me faire reculer et qu'un pop sonore raisonne quand je lâche sa bite.

— Doucement bébé.

J'm'en tape de ses envies. Tout ce que je veux c'est qu'il me prenne et qu'il arrête de sourire juste parce qu'il a réussi à m'exciter avec ses sextos. Je le branle encore un peu avant de me retourner face aux toilettes. Berk, j'ai pas envie de toucher à leur truc, mais il faut vraiment que je m'appuie sur quelque chose. Je pose mes mains sur le mur au-dessus des toilettes et tends impatiemment les hanches. Ce débile de Jeon baisse mon pantalon et soulève mon haut.

Dans le miroir de la cabine je le vois se rincer l'œil. Je le comprends. J'ai un beau cul. Rien à voir avec le Jibooty, mais le Taebooty avait le mérite d'être là.

— T'attends quoi merde ?

— C'est pas comme ça qu'on demande.

— Tu te fous de ma gueule ?

— Ce n'est pas une façon de parler à son daddy.

— Quel daddy ? Tu as peur des micro-ondes.

— Et toi t'es incapable d'ouvrir un pot de confiture petit cœur.

— Dit le type qui pique une crise s'il a pas son lait à la banane !

— Ta gueule Kim, ou je remballe ma bite et tu te démerdes.

— Tu n'as aucun humour mon pau- Han !

Putain, j'adore quand il s'enfonce sans prévenir. Mes ongles se sont enfoncés dans son avant-bras et j'écarte un peu plus les jambes quand il commence ses vas et vient.

Ce con est vraiment doué. Il laboure mon derrière pile comme je le veux, et c'est encore mieux lorsque je sens le petit bijoux métallique contre ma prostate.

— Han ! J'ai bien fait de te percer la bite, lâchais-je avant qu'il ne s'enfonce de nouveau.

Il avait beau râlé parce que j'ai profité qu'il soit soûl pour lui trouer la bite, il était quand même fière de montrer son piercings à toutes les putes qui le suçait. Mais j'm'en fiche, parce qu'il n'y a qu'avec moi qu'il se lâchait réellement.

Elle le suçait, moi il me faisait l'amour. C'est aussi simple que ça. Mêmes s'ils peuvent manger du même pain, les aigles ne volent pas avec les pigeons.

Jeon, me tenait fermement par les hanches, et même si cette position était tout sauf confortable, elle lui offrait une bonne prise pour me pénétrer. Mais je commence à ruminer, parce que ce tocard fait exprès d'aller lentement.

— Bordel Jeon plus vite !

— T'a pas changé. T'as toujours un cul d'enfer et une aussi grande gueule.

— Toi par contre t'es moins performant que dans mes souvenirs.

Jungkook asséna un brusque coup de hanche qui propulse ma tête sur le mur.

— Aïe !

— Oh merde ça va ?

—Je vais te buter !

Ce crétin sourit de toutes ses dents. Sa main glisse sur mon ventre, pour me positionner correctement puis poursuit ses mouvements amples.

S'en suit une langoureuse baise pendant laquelle je ne dis rien. Il a compris que j'étais pas là pour rire et me prend sérieusement. Son pubis claque contre mes fesses tandis qu'il suçote mon cou.

J'm'en fou que ses suçons soient visibles, tout comme j'm'en fou qu'on m'entendre crier. Ça remettra les points sur les i et ces deux pétasses d'hôtesse de l'air pourraient arrêter de lui faire de l'œil.

Elles croyaient quoi ? Qu'il suffisait de remonter son soutien-gorge et trébucher accidentellement sur lui ? Ou de ramasser une serviette après avoir remonté sa jupe pour l'avoir entre les cuisses ? Et ba non. Si vous voulez exciter convenablement le Jeon, il vous faut un Kim Taehyung.

J'ai bien fait de salir la jupe de la blondasse avec ma cuillère pleine de confiture et de planquer une feuille de salade plein de vinaigrette dans la jupe de l'autre quiche.

Jeon est à moi. Alors virez vos pattes espèce de tartes.