{𝗕𝗨𝗜𝗟𝗗 𝝠 𝗙𝗘𝗘𝗟𝗜𝗡𝗚} ChongyunxXingqiu (Xingyun)

Chapitre 17: Journal de bord

Petit info avant de commencer, c'est présenter sous forme de « journal intime » de Chongyun , fin bref ce chapitre est fais pour comprendre ce qui s'est passer autour de lui ect... Fin vous êtes pas con vous comprendrez.
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26 Janvier:
J'ai décidé d'écouter le peu d'amis que j'ai, alors j'ai acheter un petit carnet pour me vider la tête de temps en temps.
Aujourd'hui il ne s'est pas passé grand choses, j'ai juste évité mes parents je pense que c'est ce que j'ai de mieux à faire, j'en ai juste tellement marre qu'il se prennent sans arrêt la tête, sérieusement mieux vaudrais penser a se séparer quand rien ne vas comme ça.

30 Janvier:
Je commence à oublier d'écrire ici, certes ça me fais du bien, mais c'est seulement sur une très courte durée, et puis, j'aimerais juste que quelqu'un m'aide moi, qu'on m'écoute et me comprennent, je suis persuadé de pouvoir tout arranger entre mes parents, mais si eux même ne coopère pas je me retrouve mal.

14 février:
Je croyais que ça en était fini, mais ils recommencent de plus belle. On dirait des enfants qui jouent à qui criera le plus fort, aucun des deux ne s'écoutent, les deux son aussi têtu l'un que l'autre, tout ça me dépasse, c'est trop à gérer pour un jeune garçon ...

17 février:
Il n'y plus aucune évolution, « Papa » si je peux encore l'appeler comme ça, me délaisse totalement n'est plus à la maison la plupart du temps et me laisse en chien. Je pourrais limite demander à être payer en femme de ménage.

27 février:
Cette situation m'épuise, je veux que tout cela s'arrête, les cries, les pleures, tout ça me mets hors de moi, je ne sais plus quelle est mon objectif ni quelle émotion je suis censé ressentir face à tel ou tel situation, je suis exaspéré de vivre comme ça, d'être spectateur de ma propre vie, de ne pas pouvoir tout gérer comme j'en ai envie, je ne sais même pas pourquoi je suis encore là à espérer qu'un jour tout ailles mieux ! Qui me dit que ça changera quelque chose si je m'en vais ? Ça ne changera rien non, mais je ne serais plus là pour en souffrir, je ne serais plus le souffre douleur de qui que ce soit.

4 mars:
J'ai beau réfléchir je ne vois aucune solution, je suis un lâche oui, mais un lâche qui cherche juste à ce qu'on lui foute la paix, un lâche qui n'a jamais rien demandé à personne mais qui encaisse tout sans dire un mot, alors si ce soir, le lâche que je suis s'en vas, c'est vers une conscience paisible.

1 juin:
Cela faisait longtemps, cher journal.
J'ai essayer de prendre la fuite, ça n'a pas marcher, je ne comprend pas pourquoi tout le monde cherche à me garder bien précieusement ici, alors que personne n'est réellement là pour me demander un simple « Tu as besoin d'aide ? Comment vas-tu ? ». Je crois que c'est trop demandé.

6 juin:
Je songe à partir d'ici, trouver une famille d'accueil ou quelques chose dans le genre, mais m'éloigner du mieux que je peux de mes parents. Je n'en peux plus d'être mêler à cela, de grandir dans un cadre de peur constante, de ne pas pouvoir dormir sur les deux oreilles sans avoir peur qu'une dispute éclate d'un instant à l'autre, j'en ai assez de vivre dans l'angoisse des crises, des disputes, insomnies et malaise qui s'enchaîne car je ne trouve plus la force de m'alimenter.

11 juin:
Je me suis renseigné sur une famille d'accueil, ça pourrait être l'idéal, m'éloigner de tout ça, ça en serait terminé, je n'aurais plus besoin de songer à disparaître, je ne serais plus le boulet que mes parents traîne, je ne stresserai plus pour un rien, en clair je vivrais enfin une vide dite normal.

19 juin:
J'ai essayer de parler à mes parents de ma décision de m'en allez, on ne peux pas dire qu'il l'ai bien pris, Papa m'a lancer un tabouret en pleine tête, il a jeter tout ce qui était sur la table en m'insultant de tout les noms, oui c'est ça, c'est ce quotidien que je veux fuir, celui où je me fais constamment rabaisser, remis à ma place par n'importe quelle manière, je ne suis qu'un lâche c'est vrai mais je serais un lâche heureux en m'en allant, j'ai attendu que ma mère s'impose entre nous et commençant à donnez raison à mon père sans admettre qu'elle se sentait toujours supérieur, mais c'est terminé, je ne m'impliquerai plus la dedans, alors j'en ai profité que les deux s'effritent pour me faufiler dans ma chambre pour prendre contact avec ma futur famille d'accueil.
« -Quand est ce que je peux venir ?
- Quand tu veux, notre porte est grande ouverte »
Je me souviendrai toujours de ses paroles, bien qu'insignifiante pour certain, elle allais marquer le début d'une nouvelle vie pour moi.

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