Enfin, il est parti, j'enlève mes habits et me cache sous la couette comme si elle pouvait me protéger de ce nouveau monde, ce qui ne marcha pas tellement puis ce que je me remis à pleurer comme une madeleine en pensant que je ne reverrai plus jamais mes parents..... enfin mes parents adoptifs.
Cette nuit, je dormis avec un sommeil de plomb, le genre de sommeil où la seule chose que vous voyez est le noir, le matin je me levai, le cœur lourd mais prête à affronter cette journée qui s'annoncent des plus longues et riches en émotions. Je me r'habillais avec les mêmes vêtements qu'hier et décidai de faire la visite de la maison pendant que tout le monde était occupé ailleurs, en faîte, je cherchais surtout le bureau d'Alden ou le salon bleu où nous étions hier.
Je crois que je viens de retrouver le bureau d'Alden, au beau milieu d'un couloir comme dans mon souvenir et soudain tout ce brouilla devant mes yeux, je ne comprenais pas ce qu'il se passait, lentement mais surement tout disparu pour laisser place à ma chambre et juste à côté de mon oreille mon réveille case pied. Je sautais du lit, courrai dans les escaliers et là, je vis ma mère de dos en train de faire des pencakes en chantonnant et je lui ai limite sauter dans les bras en criant Maman, tu m'as manquer. Ma mère eut pour seule réaction d'éclater de rire et moi aussi enfin soulager de la revoir. Maintenant que je savais ce qui allais se produire dans son intégralité, il fallait que j'échappes à Fitz, maintenant car la rencontre a bien eu lieux hier, et si je le revois ma vision va se produire.
Maman, est ce que je peux rester à la maison ??? J'ai peur que le garçon qui m'a suivi hier au musée me suives encore s'il te plaît, lui dis je d'un ton suppliant.
Dans son esprit, elle réfléchissait à toute vitesse, voulant savoir si sa pouvait vraiment se produire ou si s'était juste parce que je détestait le prof d'histoire, elle essayait de départagée les 2 options, et finalement elle me dit (Attention roulement de tambour) : Non, tu ira bien à l'école, aujourd'hui. Je savais que même si je disait quelque chose, elle ne changerait pas d'avis, même si j'employais des trésors d'imaginations pour cela.
Finalement, je partis de la maison légèrement en retard, voulant rester le moins de temps possible avec Amy, ma très chère petite soeur, qui s'amusait à exprimer son point de vue sur moi dès qu'elle est sorti de sa chambre. Alors que je me dirigeai vers l'école d'un pas décider, j'eus alors une idée de génie, et si je séchais l'école, Fitz ne saura pas me retrouver et quand je rentrerai se soir, j'aurais juste un sermon, c'est ce que je fis, je passai par des petites rues voire des ruelles. Et je vis un banc sur le quel je posa mon sac à dos de lycéenne plein à craquer, sur le banc et sortis un livre. Je regardais ma montre sa faisais 2 heures que j'étais là, il était 10 heures et surtout j'avais faim comme pas possible. Je trouvais une boulangerie dans le coin et j'allais m'acheter un pain au chocolat et c'est en me dirigeant vers cette même boulangerie que je vu Fitz en mode chercheur de l'extrême, je fis le plus silencieusement possible demie tour mais avec mon sac qui pesait une tonne avec tous mes livres à l'intérieur qui bougeait au même rythme que mes pas, j'avais la discrétion d'un éléphant. Fitz me vis et surtout me héla, je levais discrètement les yeux au ciel et soufflai par la bouche, car maintenant si je prenais la fuite il me rattrapera en moins de 2 comme je l'avais constater hier.
Qu'est ce que tu faisais, je te cherchais partout, me dit-il en étant à PEINE essouffler, ce qui m'enrageais encore plus, j'allais finir par l'appeler Mr. Parfait, ça se voyait que c'était le genre de la famille Vacker d'être des gens PARFAITS. MA crise de jalousie fini, je lui demanda innocemment pourquoi il me cherchait, ce à quoi il répondit que hier il m'avait dit de l'attendre. J'avais oublier fut la seule réponse que je fus capable de dire, ce qui a mon humble avis fut un choc pour Fitz, ou Mr. PARFAIT.
Bon, vu que tu m'as trouvé, tu peux partir, maintenant, lui dis-je en partant déjà en sens inverse.
Mais tu vas où, tu dois me suivre pour rejoindre les cités perdues, me dit-il.
J'étais à deux doigts d'éclater de rire, tellement c'était cliché, le héros secondaire vient chercher l'héroïne pour la ramener dans son monde, sauf que là, Sophie Foster donc moi, l'héroïne, ne veux pas rejoindre son monde. Clairement, je m'en aller, mais lui en avait décider autrement, il m'attrapa le bras, le coinça dans mon dos et les mêmes sensations qu'hier me traversèrent, des fourmillements qui n'étaient pas aussi désagréables que ça. Nous réapparûmes devant le portail comme dans ma vision, il me tenait toujours le bras dans mon dos et léchai encore ce carrée argenté accrocher au poteau. Je me débattais de plus en plus fortement, mais lui me tenais toujours avec un bras puis ce que ça ne marchait pas, j'arrétais de me débattre personne ne viendra m'aider ici.
Je vis Alden courir dans notre direction et je recommençais à me débattre dans tous les sens ou plutôt me tortiller dans tous les sens jusqu'à ce quelqu'un m'attrape par l'autre bras et me force à m'asseoir par terre. Quand je me retournais vers lui, je remarquais qu'il ressemblait beaucoup à Alden et Fitz pourtant je ne l'avais pas vu dans ma vision de cette nuit.
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
(nda: tout le monde sait que c'est Alvar, sauf Sophie,XD!!!!! Je tient à préciser que dans les prochains chapitres soit :
-il n'y a pas (le club des ) invisibles.
-les membres des invisibles ont changé.)
Tout le monde me fixait comme si j'étais posséder alors que nan, c'était eux les WTF, ils kidnappent les gens et dans la famille, tout le monde est : "Ok d'accord, fait ce que tu veux??".
Je senti comme une piqûre dans mon bras, et croyez moi je sais ce que c'est, j'en ai régulièrement depuis mes 5 ans, depuis mon allergie. Peut à peu ma vision se troubla sur les bords jusqu'à que je ne voies plus rien mais j'avais acquis une certaines résistance à l'anesthésie donc je pouvais encore entendre tous se que les gens disait autour de moi, mon esprit fonctionnait toujours.
