-𝕻𝖆𝖗𝖙𝖓𝖊𝖗𝖘 𝖎𝖓 𝖈𝖗𝖎𝖒𝖊-

"𝒜𝓈 𝓁𝑜𝓃𝑔 𝒶𝓈 𝓌𝑒 𝒶𝓇𝑒 𝓅𝒶𝓇𝓉𝑒𝓃𝑒𝓇𝓈" 𝐼𝐼

Partie 2 sur je sais pas combien je suis pas devin.

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                                                             Fanon

– Kunikida vas vraiment finir par assassiner l'un de vous.
– A croire que tu es à l'abris de sa colère ,toi.

Un soupire fendit l'air, et Akutagawa entendit quelqu'un donnait coup de point.

– Tu comptes vraiment prendre soin de lui, jusqu'à ce qu'il se sente mieux?
– Je ne peux pas le renvoyer alors que je suis absolument sur qu'il n'arriverait pas à faire un pas devant l'autre sans tomber.
– AAH, c'est bon, tu as gagné! Fais attention , je ne lui fait pas confiance malgré tout.
– Et moi il a toute ma confiance, répondit la voix exaspéré du tigre garou, Allez lucy, file, tu vas être en retard.

Finalement, Akutagawa ouvrit les yeux. Quelqu'un avait disposé une couverture sur lui, et il n'avait absolument aucune envie de se lever, malgré tout il se força à se relever, ne reconnaissant pas l'endroit ou il se trouvait, et craignant un enlèvement. Enfin, son kidnappeur devait être sacrément gentil pour avoir pris soin de lui, et surtout de lui avoir laissé rashomon.

Le mafieux observa les alentours, l'endroit était chaleureux et ne ressemblait pas vraiment à une prison, ce qui le rassura quelque peu. Il ouvrit la porte et s'aventura dans le couloir, à la recherche d'un quelconque signe de vie. Toutefois il s'était surestimé, et s'attendait déjà à rencontrer le sol lorsqu'un bras le rattrapa.

Akutagawa s'apprêtait à attaquer la personne qui venait de le rattraper avant de se rendre compte qu'il s'agissait simplement de son partenaire, qui laissa échapper un soupir fatigué. Atsushi l'aida à regagner la pièce et le recoucha dans un silence de mort. Ce fut une quintes de toux de la part du brun qui mit court à ce silence.

– Je ne savais pas que tu souffrais d'asthme.
– Tu ne m'as jamais posé la question. Comment as-tu su d'ailleurs, ça aurait pu être une grippe?
– Quelqu'un que je connaissais dans mon enfance en souffrait.

Le tigre garou ne s'étala pas plus la dessus, et Akutagawa ne posa pas de question non plus, trop occupé à garder un certain calme lorsque Atsushi eu la soudaine bonne idée de lui caresser les cheveux, le troublant au plus haut point. Il n'avait pas la force de répliquer comme il l'aurait fait habituellement, en fait, c'était presque familier, sans qu'il ne réussisse à se remémorer ce que cela lui évoquait.

Ils restèrent ainsi un moment, avant qu'Akutagawa ne brise le silence à nouveau:

– Où est ce qu'on est?
– Chez moi, ou veux tu que l'on soit idiot? Hier t u es tombé dans les pommes.
– Je vois. . .

Les deux sursautèrent en entendant le téléphone du tigre garou sonner. Ce dernier soupira en voyant son correspondant et répondit, une légère appréhension le tiraillant.

– Atsushi Nakajima!
– Bonjour kunikida, répondit le détective déjà las.
– Dazai m'a absolument tout raconté! N'as tu donc pas honte?

Akutagawa laissa échapper un soupir. Il se sentait sincèrement désolé pour son partenaire en ce moment. Tout ce qui sortait de la bouche du suicidaire était synonyme de catastrophe, et il se demandait ce que le gaspilleur de bandage avait inventé cette fois-ci.

– Euh ça dépend, de quoi vous parlez exactement? Demanda Atsushi, sachant pertinemment que ce que dirait le blond serait en rapport avec Akutagawa.
– Copuler avec l'ennemi! UN MEMBRE DE LA MAFIA PORTUAIRE!