Je t'ai agrippée dans la rue comme on arrache une cigarette de son paquet. Mais je t'ai trop fumée. Et je ne m'en suis rendue compte que quand les cendres, encore rouge d'avoir été consumées,gisèrent à mes pieds en ne me laissant que ce mégot pour brûler mes doigts. Ces brûlures n'étaient que d'infimes blessures fassent à celle qui lacéraient mon cœur. Alors pour ne jamais t'oublier c'est sur la peau qui le protège des tempêtes de la vie que j'ai éteint la fin de cet amour brûlant,me marquant d'une trace indélébile.
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Recueil de mes Pensées
PoesíaBienvenue sur ce livre! Si vous décidez de ne pas le lire,tant pis et bonne route à vous ! Mais si vous décidez de le lire,alors bienvenue dans mes pensées ! Ce recueil contient plusieurs mois d'écriture de mes pensées. Je ne me targue pas d'écrire...
