Je pose ma mains sur ma poitrine et ma respiration se fait courte . Lui, n'a pas encore remarqué mon changement de comportement et continue de toucher mon corps avec ses mains sales . Je ne cesse de lui dire d'arrêté mais c'est comme si il été sourd . Plus je lui dis d'arrêté , plus ma voix ne sont que des murmures à cause de la douleurs .
Tout d'un coup il me porte sur son épaules et se dirige vers mon lit . Avec la force et l'adrénaline je crie :- Moi : ARRÊTE J'AI MAL ARRÊTE !
Suite à ma requête il me pose directement sur le sol mais à peine mes deux pieds poser , je m'écroule lourdement , mes jambes ne supportant plus mon corps . Mais Farès me rattrape avec ses deux bras pour m'empêcher de m'écrouler . Il me regarde attentivement avant de froncer les sourcils .
- Farès : Il t'arrive quoi là ?
Je ne fait pas attention à ce qu'il dit l'air trop préoccupé . Là douleurs ne diminue pas , au contraire j'ai l'impression que plus les secondes passe plus là douleurs augmente . Je me détache de Farès en essayant maladroitement de tenir sur mes deux jambes et pose une main sur mon coeur . J'ai mal , tellement mal que des larmes de douleurs coule sur ma joue .
Je déverrouille la porte de la chambre et me dirige vers la salle de bain en m'aidant des murs pour avancer , ma main toujours posé au milieu de ma poitrine . C'est affreux cette sensation , comme si on poser une énorme pierre au milieux du coeur et qu'il vous est impossible de respirer .
Je sens Farès me suivre et j'ai l'impression qu'il inspecte le moindre pas que je fait .Arrive dans la salle de bain , je me précipite dans la baignoire avant de m'y installer et de mettre de l'eau froide .Avec l'eau froide sur mon corps , je réussi légèrement à me calmer mais pas assez . Sa ne fait que m'apaiser un peu mais la douleur reste la même . J'avais une forte envie de vomir mais je me retient . Farès , lui, me regarde en fronçant les sourcils .
-Moi : Mes...mes médicaments sur la ...table de chevet ...
J'avais dit ma phrase avec tellement de difficultés , comme si j'étais essoufflé . Je le vois reculer de quelque pas et sortir précipitamment de la salle de bain pour revenir 30 seconde plus tard avec mes médocs . Il prend le verre qui traîne sur le lavabo avant de le remplir et de me le donner avec un cachet .
Je ne me fis pas prier, je prend le verre ainsi que le cacher et le bois .
Quand je sens là douleurs de ma poitrine partir totalement ce qui a fallu au moins une dizaine de minute , je pousse un long soupir avant qu'une pointe d'iniquité vienne en moi .
3 ans , 3 ans sans crise , sans problème , sans médecin . Malgré que je prend les médicaments matin et soir , il est revenue . En effet , depuis toute petite j'ai une maladie qui s'attaque directement à mon coeur .Ces crises sont souvent dû au stress , d'angoisse ou de peur . Plus je fait des crises , plus mon coeur de dégrade . Il y'a 3 , 4 ans je faisait des crises très violente qu'il a totalement fallu que je reste 4 mois a l'hôpital.
Sa a été une période très difficile pour moi et pour ma famille . Inaya et Amine me rendait tout les jours visite . Et quand je désespéré, la seul personne a me remonter sur la pente c'était Amine . Je crois même que c'est grâce à lui que j'ai réussi a aller mieux . Ces mots pour me réconforter était si douce , si sincère que je repassait toute les nuits ses paroles en boucle . Puis quand je suis sortit de l'hôpital, je n'en ai plus fait , enfin jusqu'à aujourd'hui-Farès. :Tu peut m'expliquer ?
La voix de Farès me tire de mes pensée et je commence a le regarder . Est ce que il allait vraiment me violé si je n'avais pas fait cette crise ?
Je crois que c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase , j'en ai marre de me battre contre lui , je suis fatigué d'avoir des bleu sur le corps et de sourire comme si tout allait bien .Il me dégoûte de jour en jour . Les larmes viennent me monter au yeux et je dit d'une vois tremblante :
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Ces conneries m'ont fait vivre l'enfer - Nesrine {EN CORRECTION}
Action-Farès : PUTAIN MAIS ACCÉLÈRE ! -Nesrine : JE SUIS DÉJÀ À 140 KM/H FARÈS ! -Farès : BAH MONTE À 180 PUTAIN ! -Nesrine : FAIT CHIER ! Je passe la vitesse supérieur et appuie mon pieds sur l'accélérateur. Les deux voitures au vitre teintée sont toujou...