Se disputer pour mieux se retrouver

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-De quoi ..?!
Il me passa le téléphone énervé.

-Mais je comprend pas !

-Bon Marie-Agathe c'est bon. Ça me soule cette histoire de merde.

-Mais pourquoi tu cries ?!

Je comprenais pas, en un seul coup il se mit à crier.

-Tu me soules avec lui ! Ton pseudo "passé" ... Justement il s'est rien passé.

Je baissa la tête, avait-il raison ?
Il compris assez rapidement que ce qu'il venait de dire m'avait fait du mal.

-Je ... Je suis désolé. Il s'assit sur le lit. Mais avoue que il est encore toujours présent ... T'es sorti avec d'autre gars avant lui pourquoi c'est toujours lui ?! Et c'est moi maintenant.

J'étais en face de lui la tête baissé comme si j'avais fais quelque chose de mal.

Il m'attrapa la main et la caressa.
Oh Jess, qu'est-ce que j'aime ton touché, mais qu'est-ce que je déteste quand tu parles mal de Brooklyn...
-Marie-Agathe, reprit-il solennellement. C'est moi ton homme, et t'es ma femme. Tu comprends ça ? T'es autres copains J'men fou ! Ils pourraient tous être Brad Pitt ou Justin Bieber ça change rien.
Je le regarda dans les yeux.
Ses yeux était si claires par rapport à Brooklyn. On pouvait y voir toute son âme, connaître ses sentiments et ses impressions, lire en lui comme dans un livre ouvert contrairement à Brooklyn. Tellement mystérieux.

C'est bizarre que en repensant à Brooklyn j'ai cette impression que nous n'avons pas tout tenter ...
Mais Jess, je l'aime tellement. Quand je le regarde, l'entend, lui parle j'ai un pincement au cœur tellement je l'aime.
Je sais que je suis amoureuse. Mais pourquoi donc Brooklyn est-il là ?! Pourquoi il ne veut pas me laisser ?!
Il est partout sans l'être.

-Je t'aime plus que que quiconque ne t'as j'amais aimé et ne t'aimera jamais.
Dés le premier jour où tu as insulté mes doigts.
Je me mis à rire la tête toujours baissé.
Il ria aussi, tout doucement. Il est tellement mignon.

-Eh puis encore plus quand tu as dis aimer mes taches de rousseur. Quand tu les a embrasser une par une aussi.

On se mit à rire et je releva la tête.

-Allez viens là. Dit-il en m'entraînant à califourchon sur lui.

J'avais besoin de le sentir près de moi, de sentir qu'il m'aimait. Mais aussi de lui faire comprendre que je l'aimais.

-Jess Je t'aime.
Il sourit sous mes baisers.

Nos baisers se faisaient de moins en moins chastes quand il me dit:
-Je ne pense qu'à toi tout le temps.
Je lui répondit :
-Et moi à toi.

Mais pourquoi Brooklyn était là dans ma tête?

Un amour presque plus modèle.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant