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Le pot à l'orchidée blanche
A la plastique épurée,
Aux ombres dissimulées,
A la beauté si étanche
Qu'aucun soleil ne la brûle
Et qu'aucun vent ne la ploie,
Qu'aucune pluie ne la noie,
Qu'aucune âme ne l'accule,
A vu ses fleurs s'envoler
Et désormais la lumière
Est lasse de le toucher.
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Nos cœurs oscillent
PoesíaCar mon cœur plante des asphodèles pour chaque cœur qu'il regrette, et il espère que, sur sa tombe, on en plantera aussi.
