La neige refusait catégoriquement de tombée en ce doux petit début de mois de décembre. Les enfants l'attendaient néanmoins impatiemment, les adolescents trop souvent rivé sur leurs écrans déprimaient à cause de ce manque de blanc sur les trottoirs crasseux. Elle au moins avait l'étrange pouvoir de rendre les rues moins repoussante et même plutôt agréables à voir, étonnamment, au point de se rouler à l'intérieur gaiement en s'amusant entre amis. En se qui concernait les adultes, eux, n'en avait sensiblement rien à faire, ils espéraient même que ce phénomène si magique ne se produise pas. Cela leurs évitaient de ramasser leurs progéniture à la petite cuillère dans la glace, de monter le chauffage comme des dégénérés ou encore de déraper stupidement sur la route avec leurs véhicules.
Avantages, aucun.
Désavantage, une panoplie.D'après eux bien sûr. Les plus jeunes songeait déjà à comment s'amuser jusqu'à l'épuisement dans la matière blanche immaculée produite par les nuages d'hiver qu'ils se feraient également tous un plaisir de salir de leurs baskets.
À cette pensée si réjouissante, un jeune adolescent souriait devant la fenêtre de son salon et son compagnon à proximité, posé tranquillement sur le canapé une jambe sur l'autre fronçait les sourcils ne comprenant vraiment pas pourquoi les lèvres de son ami s'étiraient niaisement et que ses yeux pétillaient un chouia plus que d'habitude.
Le jeune homme dans l'incompréhension guetta encore longtemps la personne. Il le trouvait vraiment mignon avec son aire de mauvais garçon pratiquement disparu pour cette fois souligné par ses petites mains puissantes ornées par quelques bagues et sa boucle d'oreille, ses grands yeux où résidaient ces iris bleutées, verdâtres, turquoises peut-être, qui reflétaient tant sa joie de vivre et sa connerie en croissance plus les jours passaient. Sa petite bouche si expressive surtout et exclusivement pour lui. Et encore ce nez, aussi adorable que la forme arrondie de son visage, qu'il adorait tapoter alors que son ami boudait.
Chifuyu.
Oui Chifuyu Matsuno.
Ce nom qui illuminait tant les journées de Keisuke.Alors que le faux blond quittait l'horizon des yeux pour se retourner et encrer ses derniers dans celle du somptueux noiraud, il éclata de son rire, si revigorant, ce rire ayant le pouvoir de recharger les batteries des gens à plat. Il en usa donc pour faire sourire son ami qui squattait le canapé, l'air ailleurs. Se sentant rosir, Baji tenta de dissimuler son admiration et sa gêne en s'esclaffant sincèrement à son tour. Ils devaient bien l'admettre qu'à eux deux, ils illustraient plutôt bien l'essence de la stupidité.
En s'asseyant aux côtés de son ami, Chifuyu se prélassa affectueusement sur son l'épaule, limite en ronronnant, ce qui laissa apparaître un sourire béat sur le visage mature de Keisuke. Si Chifuyu devait le décrire, il mentionnait sans aucun doutes ses cheveux soyeux incarnant l'éclat. Oui voilà, sa chevelure sombre était la définition même de la brillance. Un colorie si ténébreux qui luisait de la même manière de jour comme de nuit. Peut-etre même d'avantage quand la lune dominait le ciel. On pouvait qualifié ses cheveux d'éclipse. Magistrale et aveuglante. Sans oublier ses yeux noisettes si assurés qui logeait une lueur de fidélité et ses canines le rendant si canon. Justement les deux mots commençait de la même manière, quelle génie il faisait ! Outre passant son visage, tout son corps était harmonieux aux yeux du petit faux blond. Il ne se lassait jamais de le voir marcher, courir, dormir, parler, lui sourire ou lever sa main amicalement pour la poser sur le haut de son crâne. Oui ! Parmis tous, il adorait ce geste qui lui était destiné !
- Kazutora arrive quand ? Questionnait Baji tout sourire à l'idée d'une soirée pimenté avec ses deux meilleurs amis.
- On s'en fou ! Haha, ria Chifuyu, complètement à l'ouest en se blottissant d'avantage contre son coussin humain de fortune.

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[OS Bajifuyu]
FanficCe moment où Baji décide de faire brûler autre chose que des voitures. - Mais quoi ? Demande un fan hystérique qui aurait kiffer que Keisuke incendie son véhicule. (Genre moi, auteure) Le coeur d'un dénommé Chifuyu peut-être... - Mais c'est encore...