La colonie des sang-mêlés est tombée, Harry Potter est mort, Celui-dont-le-nom-ne-doit-être-prononcé domine le monde. Chaque année, pour montrer leur soumission au Capitol, le gouvernement des mangemorts, les 13 districts composant le royaume du sei...
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Les « au revoir » furent déchirant tant-ils passèrent vite. D'abord Ronald Weasley vint seul la voir.
- Hermione, je t'en supplie ne meurt pas, restez ensemble et protégez-vous l'un l'autre, je t'aime tellement je ne supporterais pas de vous perdre, 'Mione gagnes, en l'honneur de Harry, promet moi que tu feras tout pour revenir en vie avec George. La résistance continuera. Fais-toi des alliés et trouves toi une épée, George prendra un arc, tu es intelligente, tu réussiras à vous sauver, je crois en vous n'oublies pas que je serais là, je te verrai, je serai toujours là, dit le roux à sa meilleure amie en la prenant dans ses bras en une étreinte désespérée.
- Je ne peux rien te promettre appart que je protègerais George même si je meurs en le faisant, Je t'aime Ron, si je meurs prends soin de ta famille. Mais avant de partir il faut que je t'avoue que mon frère et celle qui était ma meilleur amie avant d'aller à Poudlard seront aussi dans l'arène, du district trois, alors si nous nous affrontons je les laisserais me tuer, il ne sont pas au courant que je suis Hermione Jackson et non Granger, j'ai changé d'apparence. J'aurais préféré te l'annoncer autrement que comme ça.... Saches que tu seras la personne à laquelle je penserais quand je mourrai.
Hermione essayait de paraitre forte devant son frère de cœur. Ronald cependant avait peur de lui faire ses adieux, il savait qu'il perdrait au moins l'un des deux mais il espérait tellement fort que les deux survivent... Il avait une peur bleue de lui faire ses adieux, pas après tout ce qu'ils avaient vécu.
Ensuite vint le temps de dire adieu à sa famille de coeur, Hermione savait que ce seraient des adieux car même si elle avait une chance infime de survivre elle se laisserai mourir pour Percy, Annabeth et George.
- Je vous aime, merci d'avoir été là pour moi et je vous promets que je suis prête à donner ma vie pour sauver George, n'oubliez jamais que l'ordre restera toujours dans nos cœurs et vous avez intérêt à regarder, je veux que si je meurs, et je sais que ça arrivera, vous sachiez que je vous remercie de m'avoir accueillie comme un membre appart entière de la famille Weasley. Merci encore, merci pour tout.
Elle fit un câlin à sa famille et partie main dans la main de George qui avait surmonté les adieux et au revoir déchirants avec les Weasley. C'est alors qu'ils montèrent dans le train à vapeur plus noir que le charbon qui le faisait fonctionner. Ce même train qui allait les emmener au Capitol, endroit où ils rencontreraient leurs adversaires et où ils auront exactement trois jours pour s'entraîner un maximum. George, au fil des années de pauvreté, avait appris à chasser pour sa famille et Hermione en maniant son épée avec brio avait défendue et chasser pour les Weasley. Hermione avec toutes ses connaissances et sa lecture assidue avait appris à reconnaitre les plantes et leurs capacités mais aussi en avait appris plus sur 'l'arène' et sur les monstres de la mythologie. Elle connaissait des sortilèges difficiles pour se protéger et attaquer mais elle savait parfaitement que la baguette est formellement interdite dans l'arène. Durant le trajet en train la main de George ne quitta pas celle d'Hermione, même quand arriva celui qui devait être leur mentor. Le professeur Minerva Mc Gonagall, leur ancien professeur de métamorphose était censé les aider à gagner et les conseiller sans même avoir participer aux jeux, les deux jeunes adultes en étaient tout de même heureux car ils connaissaient les capacités à apprendre et donner de bons conseils de leur ancien professeur. Seulement, les années de souffrance se reflétaient dans le regard de la pauvre professeur, elle avait des rides et des cernes et une lueur brisée se voyait dans ses yeux. Elle ne voullait pas revoir ses précieux élèves dans de telles conditions, ils lui manquaient mais les revoir ainsi était pire que tout.
