CHAPITRE I

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Il est cinq heure du matin et les nonnes se trouvant au couvent Sainte annualité de magna à l'est du vaste Congo, se lèvent pour aller faire les premières prières du jour. Obligé de passer d'abord par les douches pour se purifier, elles sont en file indienne sortant à deux par chambre pour se diriger dans les vestiaires. Elles portent les robes noires avec un mouchoir sur la tête fermée pour descendre en cascade derrière la tête et ces mouchoirs sont de couleur blanches. Elles ne peuvent parler entre elles qu'après la prière du matin et comme la semaine vient de commencer elles auront un peu de temps libre pour elle. La routine et la liturgie constituent leur vie et chacune d'entre elle a soit autour du cou un chapelet, une bague de la Vierge Marie au doigt ou encore des bracelets avec les noms des saints autour du bras. Il fait froid et l'air dans les couloirs un peu lugubres frappe les visages de nones hâtives d'arriver dans les vestiaires où elles devront se déshabiller afin de purifier leurs corps avant la prière. Tout le monde suit la cadence cependant derrière elles parmi cette cadence se trouve la jeune Nadia qui semble perdue depuis des jours à cause des rêves ou juste ses imaginations qui effleurent l'érotisme partout, elle se pose des questions qu'elle aurait pu depuis longtemps sur son corps en constante évolution ainsi que sa masse de poitrine qui ne cesse de se développer comme la plupart des femmes de son âge. A vingt-deux ans c'est indéniable et pourtant elle reste silencieuse de peur que ses amies et surs ne l'apprennent ou qu'elle soit chassée de la congrégation. Chose qui sera vue comme une honte à sa famille chrétienne et surtout à sa mère une convaincue qui même l'aurait envoyé au couvent par des mots simples qu'elle n'oubliera peut-être jamais :« Ma fille, tu es en train de devenir une femme et ton corps est un danger pour le monde. Surtout si tu l'utilise mal alors offre le a Jésus et il en prendra soin ». Une énigme ?

°Nadia°: Que voulait elle dire par là ?

Une question qui tournait sûrement dans sa tête alors qu'elle se déshabillait toute honteuse et que malgré le petit nombre qui était dans la douche commune, chacune d'entre elles se cachait les parties intimes. Elles étaient parti et à son tour de prendre une douche, sous tout ce froid elle ouvrait l'eau qui coulait sur elle et comme la routine elle passait la mousse sur son corps afin de comme on ne cessait de le répéter «se purifier » mais de quoi ? Elle avait pris l'habitude de son corps qui était bien développé avec une poitrine pas trop grande ni trop petite juste parfaite et comme la plupart de filles de son a seize ans. Elle avait des postérieures bombées. Sa main descendait partout et voilà qu'avec de l'imprudence sa main s'était comme callé sur son vagin un moment et précisément à l'entrée de ses lèvres. Elle commençait à y frotter avec un peu plus d'acharnement mais tendrement et à chaque fois qu'elle le faisait ce fut une sensation agréable, passant de la surprise au délice elle commençait à frotter et à doucement écarter ses lèvres vaginales. Ses pieds d'une manière involontaire s'écartaient doucement lui donnant un peu plus accès à son corps et avec la peur qu'elle avait elle ne comprenait plus ce qui lui arrivait car chaque touché était synonyme d'une agréable envie qui grandissait au point où elle en gémissait faiblement

°Nadia°:Hannah ! Mais....mais quelle est donc cette sensation ?...

Se disait-elle les joues un peu roses avec des yeux a moitié plissés la main entre les jambes. Son autre main qui était dans ses cheveux descendait au rythme d'eau qui parcourait la moindre parcelle de son corps et en arrivant sur sa poitrine, elle qui était d'habitude un peu tombante était debout et ses tétons bien gonflées qu'ils ne semblaient pas vouloir redevenir petits. Elle était dans un délire nouveau au point d'en perdre la tête. Le plaisir de braver l'interdit de sa congrégation et l'envie de découvrir des nouvelles sensations glaçaient son dos. Elle en tombait même les jambes écartées continuant à caresser ses lèvres grandes et petites dans un mouvement rapide qui faisait même un plaisir qu'elle n'avait jusque-là pas ressenti.

°Nadia°: Je dois aller encore plus loin...juste que le seigneur me prête sa force.

Elle avait compris qu'il y avait un trou bien que petit mais existant dans lequel sans trop réfléchir elle glissait un doigt. Le majeure et les faibles gémissements qui parcouraient déjà la salle de bain de transformaient en un hurlement tellement elle n'arrivait plus à se concentrer, sa main se plaçait au niveau de sa bouche pour étouffer les cris alors qu'elle l'enfonçant encore un peu plus. La découverte du mal et du bien mêlé lui faisait perdre la tête qu'elle doigtait son intimité sans retenue en criant comme une enfant qu'on fouettait, ses amies étaient déjà parties et voilà que dans son délire se fut une sorte de décharge électrique qui parcourait son corps lui poussant à accélérer alors que sans se contrôler et tout en se tortillant elle pissait sans le savoir s'allongeant sur le sol avec l'eau qui descendait sur son corps.
Deux bonnes minutes et la nonne jusque-là n'eut pas le courage de faire un quelconque mouvement tellement elle ne comprenait pas ce qu'elle découvrait. Péniblement elle éteignit l'eau et se précipita avec honte pour aller se rhabiller. Un peu de larmes se vit dans ses yeux, du regret ? De la reconnaissance ? Elle ne savait plus où donner la tête.

°Nadia°: Seigneur...j'ai commis l'irréparable...mais j'espère qu'avec votre force j'arriverai à surmonter cette nouvelle épreuve. Guidez-moi.

Elle sortait après s'être habillée de sa longue robe et mis son mouchoir avec la panoplie qui composait son accoutrement pour aller rejoindre les autres surs. Elle pensait qu'on allait l'appréhender ou encore que l'esprit saint descendrait pour la dénoncer et bien d'autres hypothèses, en entrant dans la salle de prière qui était disposée telle une chapelle. Son amie de chambre avait remarqué ce retard qui n'était pas son habitude et l'air désintéressé qu'elle affichait de si bon matin ce qui lui laissa quelques questions mais le moment était mal choisi pour les questions. Pour ce qui est de Nadia, elle était en position de prière c'est à dire à genoux et les mains jointes devant au-dessus de la poitrine en priant le Credo de la Vierge Marie. Pour ce matin elle ne faisait que répéter sans réel fond et souvent vu qu'elle était derrière et un peu écartée du groupe elle descendait souvent sa main entre ses cuisses afin de se toucher pour de nouveau stimuler son plaisir qu'elle venait à peine de découvrir croyant que si elle arrêtait un moment ça allait partir. Plus encore elle appuyait l'autre main sur sa poitrine afin de s'exciter tout en restant discrète, plus elle caressait son pubis à travers sa robe plus sa prière était coupée par ses frémissements qui ne passaient pas inaperçu a l'oreille de sa collègue Collette et cela le long de la prière. A la fin de la prière chacune des surs rejoignait leurs et pour Nadia c'était plus qu'une question qui la tourmentait sur le comportement de son amie de chambre particulièrement ce matin. Elles arrivèrent donc dans la chambre et l'une passant devant pour aller déposer les chapelets alors que Nadia toute impatiente de faire découvrir à son amie la voie qui mène à Dieu. Elle fermait a doublé tours et restait dos devant la porte ce qui interloquait la réaction de son amie.

A SUIVRE...

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LA NONNE🔞 (TOME I) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant