LA NONNE🔞 (TOME I)

CHAPITRE XVII

Dit Nadia avec un léger sourire lorsque Fréderic lui rend son sourire aussi puis se remit à conduire
Apres quinze autres longues minutes, ils étaient arrivés dans un quartier peu fréquenté encore moins habité, très loin dans la commune de Goma, le quartier Ndosho était presque rocailleux qu’en y allant en voiture, ils avaient une impression de faire du trampoline. Apres trois ou quatre minutes de ce calvaire, Fréderic arrêta la voiture et regarda Nadia avec un sourire, cette dernière détourna les yeux vers la vitre lorsque Fréderic prit sa main et la caressa doucement avant d’ouvrir la porte de la voiture et descendit lorsque Nadia voulu sortir aussi, il sourit en secouant la tète

Frederic : Tu va me patienter ici sagement, je ne serai pas long.
Nadia : Pourquoi dois-je attendre alors que tu t’en va ? Rester seule dans cette voiture, l’idée ne me plait pas.
Frederic : Je sais, pourtant tu dois le faire. La personne que je vais voir est un ami du sultan et il n’est pas très amical même avec moi alors s’il te plait fais ça pour moi.
Nadia : Hm !

Nadia ne dit plus rien et regarda encore vers la vitre l’air contrariée, Frédéric s’éloignait et disparu dans une rue. Nadia resta la a attendre, se tournant les pouces, elle regardait de plus près le volant pour voir les motifs qui étaient gravés dessus. Elle regarda la panoplie des boutons qui composaient l’avant de la voiture, elle n’y comprenait rien vu que son éducation était purement sororale et que chez elle ces gadgets n’existaient pas. Elle remontait ses jambes et passa a l’arrière de la voiture et s’y allongea un moment pour voir ce que cela donnait comme effet lorsqu’en relevant la tête, elle voyait au loin Frédéric avec un sac à la main réapparaitre, elle se révéla pour retourner sur le siège de l’avant en faisant encore redescendre sa robe pour qu’elle arrive sur ses genoux et toussa lorsque Frédéric ouvrait la porte de l’extérieur et regarda un moment Nadia qui avait un petit sourire bête sur ses lèvres

Frederic : Qu’est-ce que j’ai raté ?
Nadia : Rien, pourquoi ?
Frederic : Je…je te vois sourire comme ça sans personne. N’est-ce pas étrange ?
Nadia : Non ! Tout va bien monsieur.

Dit-elle en tapant le siège de Frédéric pour qu’il monte dans la voiture chose qu’il fut et referma la porte après et ils repartirent.

Frederic : Tu veux visiter la ville un peu ?
Nadia : Ce sera avec plaisir.

Dit-elle lorsqu’il tourna la voiture et reprirent le chemin de la ville. La journée fut longue pour Nadia qui n’avait jamais vécu autant des choses dans une journée. Pour commencer, Frédéric l’amena dans un restaurant peu fréquenté mais très chic de la ville, après ils avaient marché pour faire comme les touristes et ils partirent faire quelques achats pour Nadia. Des vêtements, des chaussures et beaucoup d’autres détails féminins. Nadia prenait un peu de tout avec enthousiasme et Frédéric était là pour le montrer les choses à la mode, en fin de la journée, l’arrière de la voiture été remplis des emballages qui contenaient les affaires de Nadia. Ils rentrèrent et elle était toute contente jusqu’à ce qu’ils arrivent dans l’enclos. Cette fois il n’y avait pas eu de soirée avec des invités non mais les lumières étaient encore allumés. Fréderic ouvrit la porte a Nadia et sorti aussi et tous sans faire des bruits montèrent les marches pour rentrer dans la pièce. Dans le salon principal, il y avait que les deux hommes de main du Sultan et tous sans rien dire fit signe a Fréderic de retrouver sultan assis sur sa chaise. Nadia et Frédéric se rapprochaient lorsqu’ils virent le visage du sultan calme comme d’habitude mais cette fois sur sa table basse, il n’y avait pas son chapelet mais il y avait un revolver. Nadia se racla la gorge qu’elle se mit à trembler lorsque Sultan se releva et s’adressa à Frédéric

Sultan : Il est temps fils.

Fréderic ne dit rien et recula de deux pas lorsque les deux hommes de mains du sultân, Jack et Kobb se rapprochèrent d’eux et se placèrent derrière Nadia. Elle eut comme un éclair dans le corps que trembler ne suffisait plus lorsque Sultan mit la main sur sa table basse et saisit le revolver dans sa main et s’enfonça dans le couloir menant à la chambre de Nadia mais aussi à d’autres pièces dont elle n’avait pas l’autorisation de pénétrer