Welcome in the real life (TOME 2)

Chapitre 42

-CHAPITRE 42-

*PDV Reddley*

Je suis contre les hôpitaux maintenant, je crois. Finalement, les résultats lui sera envoyé quand elle va être de retour à Londres, en bref demain. Elle part. Mon petit bébé part.. Ses aujourd'hui que je reçois la réponse. Celle qui va décidé si notre couple meurt simplement après quelques temps à distance quand nous allons nous rendre compte que la distance, ça ne marche jamais plus que 4 mois ou si notre couple continu jusqu'à la fin des temps.

Il était 8 heure le matin et je savais que ma belle ne se lèverait pas avant au moins 2 heure étant une personne qui adore littéralement dormir. Marine était partie au boulot d'urgence, la nouvelle stagiaire à découvert qu'elle était daltonienne et avait échangé une teinture de couleur brun chocolat ordinaire avec une teinture d'un vert, à se qui paraît, très fluo. Personnellement, je trouve ça pas si mal ayant déjà eu cette couleur mais bon, je peux comprendre que pas n'importe qui accepte cette couleur de cheveux. Bref, la fille au cheveux vert capote et menace le salon de coiffure de ma tante comme quoi elle va l'amèner en cours et faire fermer sa propriété jusqu'à se qu'elle perdre tout ses cheveux. Pas question de faire une deuxième coloration, bien sur, non, impossible.

La lettre était devant moi et je n'avais plus qu'à l'ouvrir. N'étant pas dans un de ses livre totalement naze je m'empressa de l'ouvrir. (Si tu savais Reddley, si tu savais)Du stresse? Ses sur oui. J'aimerais que se qui se trouve dans cette lettre soit plus que positif mais nous ne décidons pas toujours de se que nous aimerions qui soit écrit dans cette lettre.

Nos sincères félicitations monsieur Rain Jeffrey Mercier! Nous avons l'honneur de vous annoncez dans se message que notre université The Imperial College vous acceptez dans notre programme Scientifique! Un plaisir de vous rencontrer se semestre.

Signé : Sir Keith O'Nions, directeur de l'établissement.

Royaume-Unis, Londres, quartierde South Kensington.

(Université de Londres existant réellement, directeur et sont emplacement aussi)

Attend... Je suis accepté?! Je vais à Londres avec mon amour! En plus que mon école n'est pas très loin du sien, plan déjà prévu afin que je puisse venir après mes cours qui fini plus tôt que ceux mon amour. Juste démontré à quelques connards qu'elle a un copain et que, oh, quel malheur, elle est prise. Je ne suis pas un mec trop possessif et je ne me pense pas vraiment jaloux seulement je n'ai pas envie que d'autre mec lui tourne autour quand elle est déjà en couple. Réaction plutôt normal je pense d'un copain face à sa chérie. Sauf si tu ne l'aime pas bien évidement, mais ça ses un autre cas! Moi, j'aime ma chérie, au point de quitter le Québec pour me rendre avec elle a Londres. Ouais, je l'aime fort pour faire ça je pense. Mes amis vont probablement tous me traîter de fou mais qu'est-ce qu'on ferait pas si on est sur et certain que c'est LA femme, celle qu'on va marier juste parce qu'elle en a envie, celle qu'on va avoir des milliers d'enfant, qu'on va regarder fièrement et que nous allons protègé en disant au enfant "HEY! Parle pas de même à ta mère." d'une grosse voix ferme comme mon père faisait quand je m'obstinais un peu trop longtemps avec ma mère partit trop tôt. Ça vaut la peine de tout lâcher juste pour partir avec elle. Et je pense aussi que cette merveilleuse nouvelle vaut la peine d'un réveil en douceur de ma petite femme qui dors bien passionnément dans mon lit, de l'autre côté du couloir.

Je m'approcha avec douceur sur la pointe des pieds vraiment. Je veux la réveillé avec des baisés partout sur son petit corps parfait pas avec mes pas. Pour ça, je ne fermais donc pas la porte quand j'entra dans la chambre avec ma manies de claqué les portes à tout bout de champs. Je monta sur le lit doucement, mes jambes de chaque côté de son corps pour me couché sur elle tout en gardant un certain poids sur mes coudes et je commença par son coup, sa mâchoire, ses temples, sont nez et pour finir ses lèvres. Ça pris un moment mais je sus que je l'avais réveillé à partir du moment que sa bouche embrassait la mienne en retour.