La Machine

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Les heures défilent telles des gouttes.
Le rêve, dans cette flaque,
Ne parvient plus à trouver sa route.
Alors on prends des bottes, continuant à chanter et à rire.
En oubliant que le temps,
Abaisse notre sourire.
~
Que les pleures de tristesses,
Elles n'ont plus n'ont de but.
Notre âme ère puis se retrouve, aux battements du bus.
~
Quand jusqu'à tard dans la nuit, elle nous obsède,
Qui aurait crue que nos ennuies, puissent venir d'une moyenne ?
J'en appelle aux enfants, qui n'en sont plus,
Aux visages ternis, noyées dans cet océan corrompu,
~
Ainsi vous nous donner des cubes, pour qu'elle nous soit familière,
Mais comment respirer dans cette sombre atmosphère ?
~
"Puisse le sort vous être favorable", nous disent-ils,
Ciseaux entre les mains d'une machine,
C'est fou, comme notre fil, peut paraître inutile.

(Pour moi l'interprétation de mes poèmes est libre à chacun, ici je voulais dénoncer le système scolaire, qui nous prends tellement de temps et d'énergie à nous enfermer dans des "cubes" sans jamais demander à chacun ce qu'il a vraiment envie de faire, de libérer sa créativité, lui apprendre à être heureux non jamais, et ça c'est bien dommage puisque qu'on se retrouve avec des taux d'anxiété chez les adolescents croissants, alors surtout si vous lisez ça, inspiré, expiré et souriez, vous êtes en vie et un bel avenir vous attends ne perdez jamais espoir !😁)

Recueil 1 : "Brume" Où les histoires vivent. Découvrez maintenant