Un amour à la monster UwU - A BarnaBone Story

Conflits et conclusion... U_U,,

BarnaB est tranquillement allongé dans le lit de sa chambre au CROUS:

- Ara ArA... Non pas comme ça, Arrra Ara, non ! C'est encore pire ! Il cache sa tête sous son oreiller. Ah putain j'vais pas avoir la moyenne sur ce contrôle le Ara Ara c'est vraiment trop dur !

Soudain la porte de sa chambre s'ouvre violemment, faisant trembler les murs.

- Qu'est ce que ? 

C'est Trombone il est debout, les vêtements trempés par la pluie et le visage couvert de larmes.

- Trombone ?! Mais... Qu'est ce qui se passe ?! Qu'est ce que tu fais là ?! Dit alors BarnaB, très inquiet.

- C'est... C'est... C'est Limule !

-Oh non ! Qu'est ce qui se pa...

- ET Livai !

- Oh... Oh non ? qu'est ce que...

- ET GOJO AUSSI !

- COMMENT ????? QU'EST CE QUE TU ME BARAGOUINE ?! CALME TOI ET EXPLIQUE TOI AVANT QUE JE M'ENERVE !! (En réalité BarnaB l'est déjà)

10 minutes plus tard les deux garçons sont assis sur le lit de BarnaB, en larmes... Ils se sentent, trahis, souillés (surtout Trombone) et abandonnés...

- Comment...? Comment ils ont pu nous faire ça ! J'arrive pas à y croire... Gojo avait pourtant l'air tellement fiable... J'avais une confiance aveugle en lui ! Mais... Mais il est comme tous les autres finalement... Il m'a trahi... Jamais, je ne pourrais le pardonner. Dit BarnaB d'un ton étrangement calme qui ferait peur à n'importe qui.

- Il faut qu'on fasse quelque chose. réplique Trombone. On peut pas se laisser faire.

Trombone jette alors un coup d'oeil vers les ustensiles de cuisine de BarnaB, des couteaux de cuisines, il y en a trois. Il se retourne vers BarnaB.

- Un pour chaque traître.  dit il

- Un pour chaque traître. Répond BarnaB.

Alors qu'il se rhabille, Gojo remarque un changement d'atmosphère... La pluie s'est calmée comme de part magie. Tout est étrangement calme, bien trop calme... Il s'apprête à faire de son mauvais présentiment à Livai et Limule quand soudain, un éclair fend le ciel, illuminant la nuit. La porte de l'amphithéatre est ouverte. BarnaB et Trombone sont sur le pas de la porte, le regard vide. Un regard si vide, qu'on pourrait se noyer à l'intérieur sans jamais revoir la surface.

- BarnaB ? Qu'est ce que tu fais là ?! C'est pas ce que tu crois ! J'peux tout t'expliquer ! 
Attends ! S'exclame Gojo.

- M'expliquer ? Il n'y a rien à expliquer. répond BarnaB.

- Trombone ? Hahaha tu veux te joindre à nous ? Demande alors Le directeur Limule (ce gros dégeulasse).

Livai au fond la salle observe la scène d'un air mi satisfait mi inquiet...

- Vous rejoindre ? Mais avec plaisir rétorque Trombone.

Il s'élance alors, couteau à la main vers celui qui maltraite son popotin dans une relation abusive et toxique (attention aux red flags les enfants) depuis des mois déjà.

Une fois, deux fois, trois fois... Trombone ne s'arrête plus, il transperce le torse de Limule et encore alors que toute vie a déjà quitté son corps. Livai n'arrive plus à parler, Gojo quand à lui se met à pleurer, doucement en silence.

BarnaB s'avance, il marche doucement vers celui qui, quelques plus tôt encore était la personne la plus importante à ses yeux. 

- Arrête, dit alors Gojo, tu sais bien que tu ne peux rien face à moi !

- Ryoiki...

-  HEIN?!! IMPOSSIBLE TU N'AS PAS PU LE MAîTRISER EN SI PEU DE TEMPS ?!!!!

- TENKAI ! Extension du territoire ! Eh les fans d'animes à l'infini !

Gojo se retrouve alors piéger dans un bulles ou des milliers, des millions des milliards de "Eh les fans d'animes" viennent agresser ses oreilles, jusqu'à ce que son cerveau explose.

Le corps de Gojo tombe lourdement à terre aux pieds de celui dans qui il était quelques minutes plus tôt : le maléfique Livai Ackerman. 

- Je...

Il n'a même le temps de finir sa phrase que sa tête est détachée du reste de son corps. Trombone a réveillé ses sharingans. Il se retourne alors vers BarnaB. Ils s'approchent alors lentement l'un de l'autre. BarnaB le top passe alors des menottes roses fluos au poignet de Trombone avant de sauvagement l'embrasser.

Quelques heures plus tard Trombone et BarnaB se câlinent dans le bureau du directeur sur tapis de fleurs de roses rouges, comme la passion qui les anime et le sang de leurs victimes.

Fin de cette tragique histoire (c'était rapide un peu).