Missing (a carl grimes fanfic)

Too Good To Be True

Je me réveille le matin, et papillonne rapidement des yeux. Je suis tellement fatiguée. J'ai à peine dormi, la douleur dans ma jambe me lance encore et je suis préoccupée de savoir si le gouverneur va revenir ou pas.

Carl et moi entrons dans la cantine et nous nous asseyons.

"Que puis-je donner aux oiseaux d'amour aujourd'hui ? " Dit Daryl.

"Oh, je pourrais avoir une barre de granola et de l'eau, tah pookie." Je réponds

Carol se retourne et rigole, je lui lance un clin d'œil pour lui faire comprendre qu'elle est son pookie.

Daryl revient avec la nourriture, et nous commençons à manger.

Nous entendons une voiture se rapprocher de la prison, et foncer avec impatience dans les barrières.

Il y a une voiture et une camionnette. Tout à coup, un homme commence à ouvrir le feu, et nous avons tous immédiatement arrêter de manger.

Les coups de feu résonnent autour de la prison, envoyant des frissons dans le dos. Les impacts des balles perforent les mûrs, je ferme les yeux, et Carl saisit ma main, je regarde Rick, il me sourit et chuchote "Tout va bien se passer". Soudainement les tires cessent et Daryl va se lever.

"RESTE BAISSER." Je crie.

Daryl continue de se lever, je jette un emballage dans les airs, et le coups de feu reprennent. "Je pense que je viens de te sauver la vie." Je lui dis. Il hoche la tête et reste coucher.

Un obus tombe sur le sol de la prison, et les roues de la voiture commence à crisser. Je pense qu'ils sont partis mais je ne veux pas prendre de risque. Je signal à tout le monde qu'on se rejoigne dans le bloc cellulaire C.

C'était tellement étrange, on s'attendais à entendre de nouveau coups de feu, mais il n'y avait rien. Juste le murmure du vent quand il soufflait à travers les arbres.

Nous sommes tous partis vers le bloc C, et je préviens tout le monde de faire attention. Nous regardons, il reste une voiture. Mais c'est pas une voiture qui était déjà là, et une barrière semble avoir été coupé. Merde.

"Qui a fait ça ? " Demande Lizzie.

Nous entendons des échos de pas, jusqu'à ce qu'une silhouette apparaisse à la porte.

"C'est moi." Dit une voix familière.