la musique hurlant dans mes écouteurs, c'est presque une thérapie.
le reflet du lampadaire jauni sur la feuille de papier, c'est comme un brin de vie oubliée.
la flaque qui gît au sol, éclaboussant des chaussures vernies.
la peur d'oublier, qui colle à la peau, comme une auréole tachée.
la porte qui peine à se fermer, qui grince dans la nuit.
la mer grondant sur la pellicule déchirée.
la voix qui hurle dans la pluie.c'est ce qui autorise l'univers à offrir son dernier tremblement à l'amour espéré et son premier souffle à celui idéalisé.
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confession
Poetryles confessions d'une pensée bleutée un peu trop émotive, qui finira par fâner. - j'aimerais vivre sans avoir peur de le faire.