Ce n'est plus un secret...

437 12 0
                                    

4 mai 2021
Sevride prends t'as main et se dirige sur le trottoir, vous vous installer sur celui-ci

Abbie: Tout commence lorsque j'étais à l'école de secours à Chicago, je devais avoir 19 ans donc cela fait 5 ans. Hadley était mon enseignant, comme un stagiaire. À chaque cours, il me regardait super bizarre, j'étais toujours très mal alaise en sa présence (soupir). Un beau matin, je suis dans la chambre d'équipement de l'école et je le vois arriver. Il me salut et commence à toucher mon corps, comme personne l'avait fait auparavant (pause), je lui ai pris la main pour la tasser et celui-ci, se débattant pour gagner contre moi, il la tournait de l'autre sens, se qui lui a crée une foulure à son poignet.. Lorsque il est sorti, il a dit à ses supérieurs que je l'avais forcer à avoir une relation sexuelle avec moi. Ils m'ont donc sorti du programme sans hésitation. Tom Van Meter, un homme de pouvoir en qui j'ai confiance, à alors pris ma défense et ma convaincue de me rendre en Virginie finir ma formation et que j'allais être la bienvenue à Chicago lorsque celle-ci sera terminée. (pleure)

Sevride: (Il sert le poing, il semble tendu) Je suis désolé, c'est horrible

Abbie: Je savais vraiment pas qu'il travaillait au 51, avoir su je ne saurais pas venue
Sevride: Es-ce que tu en as discuté avec tes frères? Ou même avec le syndicat? As-tu dis la vérité?
Abbie: Non personne est au courant
Sevride:  Ohh non, tu as traversée ça seule, pauvre toi Abbie, tu devrais rencontrer le chef demain
Abbie: Non mais le chef me croira pas, je viens que d'arriver et lui ça va faire plus longtemps. (Les yeux qui coulent)
Sevride: (Essuie t'es larmes) Non, ce n'est pas correct ce qu'il a fait. Je suis avec toi, je viendrais  le voir avec toi.
Abbie: Tu ferais ça pour moi?
Sevride: Certains (il te donne un câlin) Veux tu que j'aille te porter chez toi?
Abbie: Oui s'il te plaît
Sevride: Parfait vient t'en

Rendu chez toi, tu fais t'as petite toilette et tu vas dans ton lit. Tu essaye de dormir mais tu pense qu'à Sevride et à ce que tu devrais faire demain soir durant t'as garde.


5 mai 2021
La nuit fut longue mais nous voilà déjà le lendemain, la journée passe vite, j'avais des course à faire, je suis allé au gym et je suis allé voir Will à l'hôpital pour rencontrer ces collègues.
Sevride devait venir me chercher à l'appartement avant notre garde, c'est ce que nous avions conclu hier soir. Je le vois donc arrivé, je me dirige dehors et entre dans sa voiture.

Sevride: Et puis? Comment tu vas?

Abbie: Je suis angoissée, je veux pas le voir

Sevride: Il arrive toujours dernière minutes et il termine sa garde dans 1 heure, donc tu me verras pas avant de parler à Boden

Abbie: Si tu le dis, aux moins il y a une rotation d'équipe

Sevride: Sinon, je serai là pour te protéger donc rien va arriver

On arrive à la caserne et l'ont se dirigent vers son bureau

Sevride: Chef, est-ce qu'on peut vous parler?

Boden: Certainement, entrez et fermer la porte

On s'assoit sur les chaises devant le bureau, Sevride me regarde et je peux lire sur ces lèvres « tu es capable »

Abbie:  J'espère que vous allez bien. Si je me retrouves assise sur cette chaise aujourd'hui, c'est pour porter plaintes contre mon ancien supérieur, Kevin Hadley.

Boden: Ceci est une grosse affaire Abbie, est-ce que tu serais capable de m'expliquer pourquoi?

Abbie: Car je me suis vu être accusé d'une atrocité par l'homme qui m'a détruire

Boden: Sachant très bien que cela doit être difficile, j'ai malheureusement besoin de plus de détails

Abbie: (les larmes aux yeux) J'étais à l'école et il a usé de ma naïveté et de mon silence pour profiter de moi, je me suis vu exclure du programme pour devenir secouriste c'est donc pour cela que j'ai déménagé à Viriginia

Boden: Tu me parle bien du Hadley que nous connaissons tous?

Sevride: Je vous confirme qu'elle parle de lui Chef, et sans tout vous offensez, je le verrai se faire retirer son poste à la Caserne 51

Boden: Je voudrais bien le faire mais malheureusement sans preuve, je n'y peux rien, je n'ai pas de motif précis

Abbie: Puisque je ne souhaite pas vous créer de soucis, je vous donne ma démission en tant qu'ambulancière du 51, je vous remercie de l'opportunité en or que vous m'avez offerte. (Je prends la main de Sevride et la serre fort, je sors du bureau)

Boden: Il faut faire quelques choses, je ne laisserai pas se salot s'en sortir comme ça

Sevride: Faites vite, je ne veux qu'elle se rende dans une autre caserne

Boden: Convainc là de rester ici, essaye de la faire changer d'avis

Sevride: J'essayerais

Nouveau départ à la Caserne 51Où les histoires vivent. Découvrez maintenant