Tel le premier mot d'un môme gravé dans la mémoire de sa mère,
L'image de ton radieux sourire me hanta sans cesse,
Vrai est-il que le temps est un broyeur de souvenirs,
Cependant il y'a des événements qu'aucun éventement n'effacent,
Comment pourrais-je oublier ces moments?
Oui! Comment pourrais-je oublier les profondeurs immenses de tes beaux yeux,
L'éclat reluisant de ta chevelure quasi divine,
Ce sourire qui me faisait perdre la notion du temps,
Comment pourrais-je oublier la douceur de tes mains moites,
Ces moments passés ensemble à contempler la lueur des étoiles du crépuscule nocturne,
Les pieds dans le sable, à écouter le silence du bruit des vagues jusqu'à l'Aube,
Je ne pourrais pas ne pas me souvenir de tous ces moments remplis d'émotions,
Ils paraissaient tous clairs dans ma tête,
Et pourtant j'avais le sentiment de n'avoir vécu aucun de ces événements,
Était-ce le fruit de mon imagination ?
Était-ce l'affinement d'un art empirique ?
A qui appartenaient ces souvenirs qui n'étaient visiblement pas les miens?
Tant d'interrogations sans réelles réponses,
C'est sans doute les souvenirs d'un amour lointain;
VOUS LISEZ
CONFESSIONS D'UNE ÂME STOÏQUE
Poetry"Confessions d'une âme stoïque" plonge profondément dans l'essence de la philosophie stoïque, révélant la maîtrise intérieure et la résilience face à l'adversité. À travers une série de poèmes introspectifs, ce recueil explore la sagesse d'accepter...