Je l'aime, mais je n'n'ai pas la force de lui dire,
Avoué mes sentiments devient alors un souci.
Matin et soir pensant à comment lui dire,
Mais cette fois si je pense plutôt que je vais l'écrire.
Tu entrais dans cette salle avec une allure de déesse,
Et tu t'assayai auprès de ces gens qui t'appellais gonzesse.
Parfois en t'admirant tel ma princesse,
Je voyais dans ton âme un semblant de tristesse,
À ce moment dans mon cœur une réelle sécheresse.
À chaque fois que je te voyais au milieu de ces loups,
J'avais tellement la rage, je voulais leurs distribuer des coups.
À chaque fois qu'il posait la main sur toi,
Je voulais me lever et tous leurs brisées les doigts.
Pourquoi il s'en prenait à toi?
Et pourquoi tu posais pas les yeux sur moi?
Il ne mesure pas la hauteur de ton importance,
Et se moquait de toi avec tellement d'aisance.
Des défilés se faisaient pour des déclarations à la reine,
Elle les chassait un à un avec un semblant de haine.
Même ces mômes que mes camarades traitait de populaire,
Tête baissée un à un il repartait.
Laisse moi te tenir la main on y parviendra ensemble,
Mais que dis-je je n'arrive pas à te regarder sans que je tremble
Melthewriter7
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Vertige d'émotions
PoetryVertige d'émotions ! Je me laisse emporter par ce courant d'émotions, cette tornade de sensations que je ne peux plus contenir. Mon esprit s'en saisi et laisse mon stylo l'écrire, mon âme peu à peu se vide. Je m'en fonce de plus en plus dans mon ver...