L'histoire d'un père

Arrivé au paradis

Il finit par me lâcher et il me demanda poliment :
- Ton voyage n'a pas était trop dangereux? Tu es arrivée comment jusqu'ici?
Je ne savais pas quoi lui répondre.
Soit je lui disais la vérité mais il allait s'en vouloir soit je mentais et il allait être soulager. Je le dit alors avec un goût d'amertume dans la bouche:
- Non, non je suis arrivée à pieds mais le voyage était plutôt calme.
Il me fit un sourire et il se dirigea vers une pièce de l'autre côté de la maison. Il finit par revenir et il me tendit un paquet. Je m'empressa de l'ouvrir et je vis... Ma peluche de quand j'étais plus petite... Il s'appelait M.Fenouille. Je le serra dans mes bras avec la larme à l'oeuil et papa me chuchota doucement:
- Je l'ai pris avec moi quand je suis parti pour toujours avoir un souvenir de toi.
J'avais une forte envie de pleurer mais je me retenais car j'ai quand même ma dignité. Mon père, très heureux me demanda:
- Tu veux aller faire un balade au parc juste devant la St-Marks avenue. Ça n'était qu'à 1 kilomètre à peine. Nous y allâmes presque en sautillant et nous finîmes par arriver à ce fabuleux parc complètement vert entourer d'arbre feuillus. Il y avait aussi un endroit pour les enfants. Mais je me rappela de ce que mon père avait dit. Il m'avait rétorqué que s'il sortait, il pouvait se faire tuer par les hommes à qui il devait de l'argent. Paniquée, je le questionna par rapport aux hommes qui voulait sa peau. Il attesta qu'ils n'étaient pas toujours sur son dos et que parfois il n'était pas là. Même avec ses mots réconfortant, j'avais quand même un doute. Mais je finis par oublier ça et pour finir, j'ai passé la meilleure soirée de ma vie. Étant donner qu'il était tard, mon père souhaitait que je reste chez lui pour dormir dans sa chambre d'ami. Je ne pouvais qu'être enthousiaste à cette idée. Arriver dans la chambre d'ami, mon souffle avait était coupé. Cette chambre était rosé avec une moquette plutôt violette claire. Le lit était bleu, rose et violet. C'était juste parfait. Je remercia papa et je m'installa dans mon lit. Après une heure de réflexion intense, je m'endormis paisiblement.
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Le lendemain, je me réveilla assez tard et je descendit à l'étage. Je vis mon père passer la porte d'entré avec des délices en mains. Il les posa sur la table. J'avais l'embarras du choix. Je me suis quand même désidé à prendre un éclair au chocolat et un muffin au caramel. C'était excellent! Mieux que les oeuf au plat et le bacon de maman. Decidemment, j'étais tellement heureuse chez mon père. Mais maman devait se faire du souci. Là, je me trouvais dans une impasse. Je devais le dire à maman. C'était le seul choix possible.